Édité par notre Bénévole le chef de la rédaction ALY BAKKALI
Dans un coup de théâtre retentissant, Robert F. Kennedy Jr. (RFK Jr.) a réussi à faire annuler un contrat de 240 millions de dollars signé par l’administration Biden, destiné à financer un vaccin oral COVID-19 développé par la société de biotechnologie Vaxart, Inc. Ce projet, qualifié par ses détracteurs de “nouvelle tentative d’empoisonnement de masse”, a été stoppé net avant que les essais cliniques ne puissent commencer. RFK Jr., figure emblématique de la lutte contre les dérives de l’industrie pharmaceutique, a joué un rôle clé dans cette décision, mettant en lumière les risques sanitaires et les enjeux financiers colossaux liés à ce programme.
Un projet controversé sous le feu des critiques
Le contrat, attribué dans le cadre du “Projet NextGen”, visait à injecter près de 5 milliards de dollars dans le développement de nouveaux vaccins et traitements contre le COVID-19. Vaxart, Inc., l’une des entreprises bénéficiaires, avait pour objectif de lancer un vaccin oral expérimental, présenté comme une alternative innovante aux injections traditionnelles. Cependant, ce projet a rapidement suscité l’inquiétude de nombreux observateurs, dont RFK Jr., qui y voyait une nouvelle manœuvre de Big Pharma pour profiter de la pandémie tout en mettant en danger la santé publique.
Selon les critiques, ce vaccin oral n’était pas simplement une avancée médicale, mais une “arme biologique déguisée”. Les craintes portaient sur les effets secondaires potentiels, notamment des caillots sanguins, des lésions neurologiques et un affaiblissement du système immunitaire, similaires à ceux déjà observés avec certains vaccins à ARNm. RFK Jr. a dénoncé un “plan mortel” conçu pour maintenir la population sous “tyrannie médicale”, tout en enrichissant les géants de l’industrie pharmaceutique.
RFK Jr. : un rempart contre les dérives de Big Pharma
RFK Jr., avocat et militant anti-vaccin de longue date, a joué un rôle central dans l’annulation de ce contrat. En révélant les dessous de ce qu’il qualifie de “stratagème”, il a réussi à geler les fonds alloués à Vaxart, empêchant ainsi le lancement des essais cliniques sur 10 000 sujets humains. Pour RFK Jr., ce projet s’inscrivait dans une logique plus large de contrôle et de profit, où la santé publique passait au second plan derrière les intérêts financiers de l’industrie pharmaceutique.
“Ce n’était pas une initiative de santé publique, mais une escroquerie d’un milliard de dollars”, a-t-il déclaré. “L’objectif était de maintenir les Américains dans un état de peur et de dépendance, tout en détournant des milliards de dollars vers les poches de Big Pharma.”
Un contexte plus large : la guerre contre Big Pharma
L’annulation de ce contrat s’inscrit dans un contexte plus large de lutte contre les dérives de l’industrie pharmaceutique. Des figures comme Donald Trump et Elon Musk ont également pris position contre ce qu’ils considèrent comme une corruption systémique et une mainmise excessive de Big Pharma sur les politiques de santé. Trump, durant sa présidence, avait promis de réformer le système de santé pour réduire l’influence des lobbies pharmaceutiques, tandis que Musk a utilisé sa plateforme pour amplifier les voix critiques à l’égard des vaccins et des mesures sanitaires jugées liberticides.
Pour RFK Jr., cette victoire symbolise un tournant dans la lutte contre la “tyrannie médicale”. “Le vent tourne”, a-t-il affirmé. “Les vaches à lait de l’élite – les vaccins forcés, la recherche sur les armes biologiques et la surveillance de masse – sont en train d’être mises en pièces.”
L’avenir incertain des initiatives de santé publique
Si l’annulation de ce contrat est saluée par ses partisans comme une victoire pour la transparence et la santé publique, elle soulève également des questions sur l’avenir des initiatives de santé publique. Les partisans du projet NextGen arguent que de tels investissements sont nécessaires pour développer des traitements innovants et faire face aux futures pandémies. Cependant, les critiques mettent en garde contre les risques de conflits d’intérêts et de priorisation des profits sur la sécurité des patients.
Dans un climat de méfiance croissante envers les institutions et les grandes entreprises, l’équilibre entre innovation médicale et protection des citoyens reste un défi majeur. RFK Jr., en stoppant ce projet, a rappelé l’importance de la vigilance et de la responsabilité dans la gestion des politiques de santé.
