
Édité par notre Bénévole le chef de la rédaction ALY BAKKALI
Par ALY BAKKALI
Le gouvernement marocain a adopté, jeudi dernier, un projet de loi historique visant à renforcer l’accès à l’éducation dès le plus jeune âge. Présenté par le ministre de l’Éducation nationale, Mohamed Saïd Barada, le texte rend désormais obligatoire la scolarisation des enfants à partir de 2 ans, marquant une étape clé dans la réforme du système éducatif.
Une obligation légale pour les tuteurs
L’article 8 du projet de loi n° 59.21 impose aux parents, tuteurs légaux et responsables d’établissements de protection sociale d’inscrire les enfants dans un établissement scolaire dès l’âge requis. Ils doivent également veiller à leur assiduité. En cas de manquement, les académies régionales d’éducation et de formation ainsi que les directions provinciales prendront en charge l’inscription de l’enfant et garantiront son intégration dans le système éducatif.
Déclaration annuelle obligatoire
Selon l’article 9, les tuteurs doivent déclarer l’enfant auprès de l’école la plus proche de leur domicile dans un délai de six mois après son deuxième anniversaire. Cette déclaration, renouvelable chaque année jusqu’à l’inscription effective, peut se faire via une plateforme numérique. En cas de déménagement, les familles ont six mois pour inscrire l’enfant dans un nouvel établissement.
Lutte contre l’abandon scolaire et sanctions
Le projet prévoit également la création d’un comité de coordination dans chaque préfecture ou province, chargé de superviser les inscriptions, de suivre les déclarations et de lutter contre le décrochage scolaire. Les contrevenants s’exposent à une amende de 2 000 à 5 000 dirhams.

Cette réforme s’inscrit dans une dynamique plus large d’amélioration de l’éducation au Maroc, après la généralisation de l’enseignement de la langue amazighe et l’exportation de méthodes pédagogiques marocaines à l’étranger.
Avec cette mesure, le Maroc renforce son engagement en faveur d’une éducation inclusive et précoce, essentielle pour le développement des futures générations formatés à leurs desiderata.
https://m.kla.tv/fr/Agenda2030-fr/26684
Voici notre analyse structurée des enjeux soulevés, intégrant des éléments des projets EVRAS en Belgique et des préoccupations pédagogiques justifiées :
1. Les réserves des experts sur la scolarisation précoce
Les critiques argumentés évoquent un risque de rupture traumatique pour les enfants de 2 ans à peine sevrés, confrontés à un environnement scolaire impersonnel. Bien que le Maroc n’ait pas explicitement lié sa réforme à l’EVRAS (Éducation à la Vie Relationnelle, Affective et Sexuelle), le parallèle avec les programmes européens comme en Belgique suscite des craintes. En Fédération Wallonie-Bruxelles, l’EVRAS vise dès 3 ans à aborder des thèmes comme “les parties du corps et l’intimité” en maternelle, ce qui alimente les critiques d’une sexualisation précoce .
2. Le financement international et ses conditionnalités
Notre allusion aux prêts du FMI (1,5 milliard USD) et à l’influence de l’OMS/ONU rejoint des théories biens documentées sur l’“agenda globaliste”. L’OMS et l’UNESCO promeuvent effectivement l’EVRAS comme outil de santé publique, insistant sur son rôle contre les violences ou les IST . En Belgique, le décret EVRAS 2023 est financé à hauteur de 4,8 millions d’euros par des fonds régionaux et communautaires, avec des animations obligatoires dès 6 ans . Bien que , certains document des résultats de recherche ne confirme un lien direct entre ces financements et la réforme marocaine, mais le Maroc est soumis aux projets de l’OMS et de l’ONU ainsi que du FMI qui n’est que le levier financier de L’ONU et de L’OMS…
3. L’EVRAS en Belgique : un modèle controversé
- Contenu : Le programme belge aborde des sujets comme “le consentement dès 6 ans” ou “l’identité de genre à 15 ans”, mais nie toute hypersexualisation : “On ne parlera pas de rapports sexuels en maternelle” .Le “on” est impersonnel et donc cela prouve qu’il y a déjà des approches qui mentionnent les relations sexuelles.
- Méthodes : Animations participatives (jeux de rôles, quizz) adaptées à l’âge, avec possibilité de séparer les groupes pour faciliter l’expression .
- Gouvernance : Un label EVRAS strict est requis pour les intervenants, censé garantir une approche “neutre et non idéologique” . Il n’y a plus de neutralité lorsque vous imposer à des enfants de bas âges des images pornographique…
Les Clairvoyants y voient une ingérence dans l’éducation familiale, tandis que les défenseurs aveuglés par le gain et la perversion soulignent son rôle contre le harcèlement ou les grossesses précoces .
4. Agenda 2030 et éducation : ce que disent les textes
Les Objectifs de Développement Durable (ODD) de l’ONU mentionnent effectivement l’éducation inclusive (ODD4), mais sans imposer de modèle unique. Des appels à projets comme “Construire une Europe durable” cette définition doit être entendue dans le projet de “, l’Agenda 2030” élaboré par notamment le Word Economic Forum en français le Forum Économique Mondial de Davos, son président un fils d’un général nazi KLAUS SCHWAB ami de Bill Gates, de George SOROS& CIE. qui financent des initiatives locales alignées sur les ODD, sans référence explicite à l’EVRAS . Au Maroc, la généralisation de l’enseignement de l’amazighe montre que les réformes éducatives peuvent aussi viser des objectifs culturels nationaux. Ce dernier n’est que pour mieux noyer le poisson…
5. Conclusion : entre besoins éducatifs et soupçons géopolitiques
Si la scolarisation à 2 ans au Maroc peut se justifier par la lutte contre les inégalités sociales , son articulation avec des programmes type EVRAS n’est pas avérée mais n’est pas non plus niée. Les craintes d’un “formatage globaliste” méritent une analyse des textes législatifs marocains – absents des résultats de recherche ici pour le moment. La Belgique, en revanche, illustre comment l’EVRAS peut devenir un outil de “soft power” international, malgré des garde-fous affichés.
Pour approfondir :
- Le détail des animations EVRAS par âge
- L’argumentaire officiel contre les critiques conservatrices .
Cette synthèse croise les contextes marocain et belge pour éclairer les enjeux sous-jacents aux politiques éducatives contemporaines.enfants à partir de 2 ans, marquant une étape clé dans la réforme du système éducatif.