C’est un long fleuve ou passent des feuilles des branches qui vont s’échouer plus bas et qui ont quitté leur arbres .Nous sommes si important à cet vie à plusieurs degrés !
A plusieur niveaux
Nous n’en somme pas toujours Conscient car égoïstement nous ne voyons pas le reste, qu’il y a à nos côtés
qui nous porte et nous transporte
Lorsque l’on est à l’automne de nos vie et qu’on regarde derrière nous, On voudrais retourner au jupon de nos tendres Mamans
Souvent trop tard et nous croyons vivre
Nous survivons bien souvent
Et ce fardeau ! Ce fardeau fait de toutes pièces par la vie que nous mêmes avons accepté !
de peine que nous portons qui ne nous appartiennent plus et pourtant qui sont notre future, pourquoi ?
Car nous changeons de ce passé
J ai gardé une âme d’enfant, ça me sauve de ce monde cruel, de cette jungle qui n’a plus vraiment d’âme humaine.
Car la vie tourne autour de l’argent du pouvoir de .”.Est-ce que tu as vu ce que je possède. !
Et que tu n’as pas haha.. Tu ne possèdes rien !
Si tu choisis un chemin de vie parsemé d’embûches et que tu sais y faire face ! C’est une richesse, car tu grimpes sur cette montagne et tu arriveras au sommet plus grand !
Tu y verras de haut la beauté que Dieu nous a légué. Le trésor qu’il nous a prêté !
Et que nous devons protéger pour les générations qui viendront nous remplacer!
Nous somme fort et si fragile à la fois
Et nous avons besoin de pleurer aussi !
D’exister pour nous même !
D’être vulnérables
L’automne de notre vie nous fait entrevoir la difficulté de l’avenir
Et tout ce que nous ne pouvons plus faire
et si nous avons cette sagesse
De l’accepter tel quel arrive
Car ce qui ne peut être changer devrait nous rendre meilleurs et les chances que nous avons laissées
J’apprends chaque jour de cette grande école qu’est la vie et de ceux qui y respirent comme moi
Après tout, ma seul certitude c’est que moi aussi je tomberais de l’arbres de la vie et que ce vent viendra et m’emportera loin comme si j’avais jamais existé
Tissons des liens entre nous, car nous ne pouvons vivre l’un sans l’autre…
Existe-t-il un fleuve qui ne va pas vers la mer ?
Existe-t- il un arbres qui n’est pas arrosé par la pluie et le soleil ?
J’aime cette vie pour les valeurs que donnent toutes ces choses à nos yeux que Dieu nous a donné et je la déteste pour ce que nous en faisons parfois !
Ne m’enleve pas les rides de mon visage, ils témoignent de mon parcours,
Et de ma vie et des sourires que j’ai pu offrir
Un homme qui réponds au nom de DR AHMED KHALED TAWFIQ, à dit un jour je t’embêterais, je m’accrocherais à l’adulte qui est près moi,
J’avais juste oublié
que j’étais moi-même adulte…
C’est telment ça. Mais la pudeur, la fiertés nous empêche de faire ce geste simples et important quand on va mal,
c’est de prendre un adulte dans nos bras et voir un ami pleurer
La vie est cruel mais c’est la vie
BENLAIL LHOUCINE