Dans une scène qui suscite à la fois le ridicule et la douleur, nous trouvons le Maroc, ce pays qui s’est longtemps vanté de ses terres fertiles et de son riche patrimoine agricole, transformé aujourd’hui en un État impuissant mendiant sa subsistance aux denrées alimenntaires de l’Occident. Après que ses plaines regorgeaient de richesses et ses montagnes fourmillaient de bétail, le voilà qui tend la main, suppliant pour des viandes congelées des confins de la terre. Quelle honte et quelle humiliation est-ce là ?
Nous en sommes arrivés, sous un gouvernement qui prétend être compétent alors qu’il en est bien loin, à importer des moutons, comme si nos ancêtres n’avaient jamais été parmi les meilleurs éleveurs de bétail de la région. Puis vint le tour de l’huile d’olive, ce liquide doré dont chaque Marocain était fier, devenant une marchandise que nous importons avec une devise forte dont nous avons tant besoin. Et maintenant, comme si le malheur n’était pas encore complet, nous ouvrons grand nos portes aux viandes congelées de tous les coins du monde.
Où sont passés les slogans d’autosuffisance dont se sont tant vantés les gouvernements successifs ? Où sont passées les promesses retentissantes de soutien à l’agriculteur marocain et de développement du secteur agricole ? Elles se sont toutes évaporées, laissant derrière elles un peuple qui se demande amèrement : en arriverons-nous un jour à importer l’air que nous respirons ?
La décision de l’Office National de Sécurité Sanitaire des Produits Alimentaires d’autoriser l’importation de viandes rouges de pays très éloignés de notre culture et de nos traditions alimentaires n’est qu’une preuve flagrante d’un échec cuisant dans la gestion de nos ressources nationales. Qui nous garantit que ces viandes importées ne sont pas en réalité des viandes de porcs ou d’animaux morts ? Et qui assume la responsabilité de vérifier leur méthode d’abattage conformément à notre loi islamique ?
Nous sommes devenus, en un clin d’œil, importateurs de tout : du blé qui remplissait autrefois nos plaines, aux poissons qui abondaient sur nos côtes. Comme si la mer s’était asséchée et la terre était devenue stérile du jour au lendemain. N’y a-t-il pas là de quoi avoir honte ?
Ce gouvernement misérable, avec ses politiques boiteuses et ses décisions incohérentes, conduit le pays vers l’abîme d’une dépendance totale envers l’étranger. Au lieu de soutenir les agriculteurs et les éleveurs locaux et de fournir les moyens nécessaires pour développer la production nationale, nous le voyons se précipiter vers des solutions faciles et rapides, sans se soucier des conséquences désastreuses à long terme.
Les jours à venir ne présagent vraiment rien de bon. Si aujourd’hui nous importons viandes, huiles et céréales, que devrons-nous importer demain ? Arriverons-nous au jour où nous importerons l’eau et l’air ? Cette trajectoire descendante annonce une véritable catastrophe pour la sécurité alimentaire nationale et place le pays à la merci des pays exportateurs et des fluctuations des marchés mondiaux.
Le temps est venu pour un véritable éveil national. Soit nous reprenons les rênes de nos affaires et reconstruisons notre secteur agricole sur des bases solides, soit nous nous préparons à un avenir sombre où nous deviendrons otages des denrées alimenntaires des autres. Ce gouvernement doit réaliser l’ampleur de la catastrophe vers laquelle il nous mène et prendre des mesures immédiates et décisives pour sauver ce qui peut l’être.
Le Maroc mérite mieux que cela. Il mérite un leadership qui croit en les capacités de ses enfants et les richesses de sa terre. Il mérite des politiques qui protègent la dignité de ses citoyens et garantissent leur sécurité alimentaire. Y aura-t-il quelqu’un pour répondre avant qu’il ne soit trop tard ?
Où sont donc les résultats du Plan Maroc Vert sur lequel des milliards de dirhams ont été dépensés, ô responsables de l’agriculture du pays ?
La politique du Maroc est imposée par un Agenda très précis qui est déjà en application dans les pays européens, souvenez-vous les énormes manifestations des agriculteurs au Pays-Bas, en Italie, en Allemagne, en France en Belgique en Espagne, c’est pour les mêmes raisons et contre le même projet qui se nomme “AGENDAT 2030” élaboré par le sorcier de DAVOS des incertains, KLAUS SCHWAB L’OMS-FDA BILL GATES SOROS ROCKEFELLER ROTHSCHILLD BLACK ROCK VANGUARD & CIE.
Leurs slogan “Vous NE POSSEDEREZ RIEN ET VOUS SEREZ HEUREUX “
lorsque nous avons appris avec tristesse que le FMI a prêté au Maroc la somme d’un milliard 300 milles dollars et lui a rajouté 500.000 dollars, c’était pour nous claire que le gouvernement, n’est pas in compétant, mais bien machiavélique car il sait vraiment ce qu’il fait, il suit à la lette les directives du FMI, de l’ONU et de L’OMS.
Faut-il rappeler que Aziz AKHANNOUCH est un Franc-maçon notoire !?
II faut conscientiser les Peuples du monde contre cette dérive totalitaire.
