Georges-Louis Bouchez mène des débats incisifs sur la géopolitique et le communautarisme en Belgique
Ces dernières semaines, Georges-Louis Bouchez, président du Mouvement Réformateur (MR), a marqué l’agenda politique en participant à deux débats de grande envergure. Ces événements ont non seulement mis en lumière ses positions politiques, mais ont également suscité de vives controverses.
Géopolitique et le rôle de l’Europe après Trump – ULB
Le 9 décembre 2024, Bouchez a participé à un débat organisé à l’Université Libre de Bruxelles (ULB) sur le thème : “Après l’élection de Trump : quelle place pour l’Europe sur l’échiquier géopolitique ?” Aux côtés de personnalités telles que Louis Sarkozy, Elio Di Rupo et Alexander Mattelaer, il a discuté de la nécessité pour l’Europe de devenir plus autonome sur le plan militaire et économique.
Bouchez a souligné que la réélection de Donald Trump oblige l’Europe à réduire sa dépendance vis-à-vis des États-Unis et à renforcer sa défense commune. Bien que le débat ait été riche sur le fond, mais il a été perturbé par des manifestations étudiantes dénonçant la présence de Bouchez et de Sarkozy, jugés incompatibles avec les valeurs inclusives de l’université. Sous le slogan “Pas de fascistes sur notre campus”, les manifestants ont revendiqué une plus grande ouverture au dialogue.
Pas d’Allah dans les salles de classe – Débat Knack
Le 14 décembre 2024, Bouchez a affronté Melissa Depraetere, présidente de Vooruit, lors d’un débat organisé par Knack à Bozar, à Bruxelles. Le thème portait sur le communautarisme en Belgique, avec une déclaration controversée de Bouchez : “Pas d’Allah dans les salles de classe, fini le communautarisme.”
Que veut il dire pas d’ALLAH, mais Jéhovah, Dieu, Jésus, Marie sans problème !?
C’est une attaque franche contre une importante frange de la population belge !. C’est de l’anti-islam et anti-Musulmans.
Pourquoi n’a-t-il pas mentionner les autres confessions !?
Et s’il pense que les Belges de souche sont seulement athées, juifs ou chrétiens, il se trompe énormément, puisqu’il y des centaines de milliers de Belges qui ont embrassé l’Islam depuis plusieurs générations. Que va-t-il faire avec ces Belges !?
Chaque vendredi, il y a près d’un millier de Belges qui embrassent l’islam.
Bouchez a mis en garde contre les effets du communautarisme sur la société belge et a plaidé pour une séparation plus stricte entre religion et éducation. Il oublie que l’éducation est un droit parental gravé dans la Constitution, et donc les parents ont le droit de choisir l’éducation et les convictions de leurs enfants !
Selon lui, il est essentiel de renforcer la laïcité pour préserver la cohésion dans une société multiculturelle. Cette phrase est totalement contradictoire, multiculturelle et tous laïcs !? Il ignore également que la Belgique n’est pas comme la France un pays laïque mais un pays NEUTRE ! Depraetere, quant à elle, a insisté sur l’importance de l’inclusion, affirmant que la diversité est une force et non une menace.
Le débat a abordé des sujets sensibles, notamment la migration, les inégalités et l’extrémisme. Les propos tranchés de Bouchez ont polarisé les opinions, tandis que Depraetere a cherché à adopter un ton plus rassembleur.
Bouchez continue de polariser
Ces deux débats montrent que Bouchez n’a pas peur d’aborder des sujets controversés. Son plaidoyer pour une Europe forte et ses positions fermes contre le communautarisme reflètent sa vision d’une Belgique plus indépendante et résiliente. Cependant, cette vision suscite également des résistances, notamment parmi les jeunes et les milieux académiques.
Boucher le tatoué à profité de ce débat pour injecter son venin, sa haine de la Religion Originelle Islam et des Musulmans.
Dans les mois à venir, à l’approche des élections, Bouchez continuera sans aucun doute à miser sur ces thèmes, en défiant régulièrement l’opinion publique et l’Éthique.