
Édité par notre Bénévole le chef de la rédaction ALY BAKKALI TAHIRI du diplomaticnews.net
Par un observateur indigné – 19 septembre 2025 Dans les abysses de la trahison journalistique, Ahmed Charai, ce soi-disant “journaliste” marocain et magnat des médias, se distingue comme un parangon de la bassesse morale. Cet homme, qui ose se draper dans les oripeaux de l’indépendance médiatique, n’est rien d’autre qu’un valet servile du régime marocain, un apologiste du génocide et un défenseur acharné des criminels de guerre. Son récent plaidoyer éhonté en faveur de Benjamin Netanyahu, ce boucher de Gaza, n’est pas seulement une insulte à la conscience humaine ; c’est une déclaration de guerre contre la justice internationale et contre le peuple palestinien martyrisé. Ahmed Charai, vous êtes un traître à votre nation, un complice de l’horreur, et il est temps que le monde entier vous démasque pour ce que vous êtes : un instrument de propagande au service de l’oppression.
Rappelons les faits accablants. Le 24 novembre 2024, Charai a publié un article nauséabond dans *The Times of Israel*, intitulé “The ICC Challenges Israel’s Judicial Independence”, où il ose qualifier les mandats d’arrêt émis par la Cour Pénale Internationale (CPI) contre Netanyahu et son ancien ministre de la Défense, Yoav Gallant, d’attaque contre la “souveraineté judiciaire” d’Israël. Ces mandats, fondés sur des accusations de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité à Gaza – incluant l’utilisation de la famine comme arme et des attaques systématiques contre les civils – sont décrits par Charai comme une “politisation du terrorisme”. Quelle hypocrisie abjecte ! Pendant que des milliers de Palestiniens agonisent sous les bombes, Charai, depuis son perchoir confortable, minimise ces atrocités et défend les bourreaux. Il va jusqu’à remettre en question la légitimité de la CPI, affirmant que cette décision “soulève de sérieuses questions sur la légitimité et l’impartialité de la cour”. C’est du négationnisme pur et simple, une insulte aux victimes et une complicité flagrante avec le génocide. Et parlons-en, de ce génocide ! L’ONU, à travers sa Commission indépendante d’enquête internationale, a officiellement conclu, en septembre 2025, qu’Israël commet un génocide contre les Palestiniens à Gaza. Le rapport accablant détaille des actes intentionnels visant à détruire le peuple palestinien, incluant des massacres, la famine organisée et la destruction systématique des infrastructures vitales. Des experts de l’ONU, comme ceux de l’Association Internationale des Études sur le Génocide (IAGS), ont affirmé que les actions d’Israël remplissent les critères de la Convention de 1948 sur le génocide, avec des preuves directes d’intention génocidaire. Netanyahu et Gallant sont tenus responsables personnellement de ces horreurs. Pourtant, Charai, ce pleutre, ose les défendre, ignorant superbement ces conclusions onusiennes. En faisant cela, il ne se contente pas de nier la réalité ; il devient complice actif de ce crime suprême contre l’humanité. Au Maroc, pays où la cause palestinienne est sacrée et inscrite dans l’âme nationale, les réactions à cette trahison ont été un ouragan de colère légitime. Abdelilah Benkirane, ancien chef du gouvernement et leader du Parti de la Justice et du Développement (PJD), a qualifié l’article de Charai d'”absurde et sans fondement”, accusant ce dernier de saper la position marocaine historique en faveur des Palestiniens. Le PJD a émis un communiqué incendiaire, traitant Charai de traître et appelant à une mobilisation contre cette “fatwa” pro-israélienne qui incite à la haine et questionne le patriotisme marocain. Sur les réseaux, des voix comme celle du journaliste Ali Lmrabet dénoncent Charai comme un agent de la DGED, les services de renseignement marocains, affirmant que ses écrits sont dictés par le Makhzen pour promouvoir la normalisation avec Israël. Des internautes marocains l’accusent d’apologie du génocide, réclamant son arrestation pour avoir protégé un criminel de guerre au pire moment possible. Même des observateurs internationaux soulignent que Charai, architecte médiatique de la normalisation, cible les partis comme le PJD pour leur opposition à l’Iran et à la résistance palestinienne. Mais ce n’est pas la première fois que Charai trempe dans la fange de la controverse. Cet “homme d’affaires influent” est connu pour ses déclarations provocatrices, comme “Nous sommes tous Israéliens”, qui ont déjà scandalisé l’opinion publique marocaine. Il a menacé de poursuites judiciaires contre Benkirane pour ses critiques, révélant son aversion pour la liberté d’expression qu’il prétend défendre. Pire encore, Charai est impliqué dans des affaires judiciaires douteuses : en 2015, il a poursuivi un journaliste espagnol, Ignacio Cembrero, pour diffamation, et ce dernier a été infecté par le spyware Pegasus, lié au Maroc. Charai n’est pas un journaliste ; c’est un propagandiste, un espion médiatique qui utilise son empire – Global Media Holding – pour blanchir les crimes d’Israël et étouffer les voix dissidentes au Maroc. Ahmed Charai, votre défense de Netanyahu n’est pas une “opinion” ; c’est une trahison flagrante. Vous insultez les martyrs de Gaza, vous piétinez la dignité marocaine, et vous vous rangez du côté des oppresseurs contre les opprimés. Le monde entier, des organisations comme Amnesty International qui saluent les mandats de la CPI, aux nations comme la Turquie qui les soutiennent, vous condamne implicitement. Il est temps que la justice marocaine, si elle en a encore, vous traîne devant les tribunaux pour apologie de génocide et trahison nationale. Que votre nom soit synonyme de honte éternelle, et que les Palestiniens, un jour, voient leurs bourreaux – et leurs complices comme vous – payer pour leurs crimes. La normalisation que vous promouvez déchire le Maroc, comme l’ont noté des analystes. Mais le peuple marocain, fidèle à sa cause, vous rejettera. Honte à vous, Ahmed Charai !