
Par le rédacteur en chef ALY BAKKALI TAHIRI diplomaticnews.net
Par un contribuable belge qui en a ras-le-bol de payer les caprices de la Commission
Bruxelles, 2 décembre 2025
– Si l’Union européenne passe en force, la Belgique risque la faillite pure et simple.

Bart De Wever et Maxime Prévot

l’ont martelé ce week-end : mettre les 190 milliards d’actifs russes gelés chez Euroclear en garantie d’un méga-prêt de 140 milliards à l’Ukraine, c’est faire porter à la Belgique seule un risque de 200 milliards, soit un an entier de budget fédéral.
Ursula von der Leyen veut absolument son « prêt de réparation » avant la fin de son mandat. Tant pis si c’est juridiquement bancal, tant pis si c’est la Belgique qui paiera les pots cassés en cas de défaite devant les tribunaux internationaux, tant pis si Euroclear s’écroule et que les investisseurs fuient.
Le schéma est limpide et terrifiant : – On ne confisque pas officiellement (trop risqué).
– On « met en garantie ». – Si la Russie ne paie jamais les « réparations », on garde l’argent. – Et quand Moscou gagnera ses procès, ce sera la Belgique qui paiera les amendes astronomiques, les saisies et les cyber-ripostes.Et pendant ce temps : – La Russie continue d’avancer sur le terrain.
– L’Ukraine est au bord de l’asphyxie financière.
– Donald Trump, depuis son entrée en fonction, a déjà prévenu : il veut une partie de ces actifs gelés pour financer son plan de paix et de reconstruction, pas pour alimenter indéfiniment la guerre par procuration de Bruxelles.
Mais Ursula veut son cadeau d’adieu. Elle est prête à sacrifier un État membre fondateur pour une opération de com’. Elle est prête à flinguer le dernier vrai levier de négociation avec Moscou juste pour pouvoir bomber le torse.
La Belgique a dit NON. Lettre officielle, menace de veto, exigence de partage total des risques. De Wever l’a écrit à la Commission : « Vous voulez la gloire, vous ne nous ferez pas payer la note. »On ne joue pas à la roulette russe avec l’argent d’un seul pays. On ne ruine pas une place financière européenne pour flatter l’ego d’une technocrate. On ne torpille pas les futures négociations de paix pour un coup politique.
Si Ursula von der Leyen veut vraiment aller jusqu’au bout, qu’elle mette d’abord l’argent allemand sur la table.
Sinon, qu’elle nous laisse tranquilles.Parce que si elle passe en force, ce sera la banqueroute. Et ce jour-là, le responsable ne s’appellera pas Poutine.Il s’appellera von der Leyen.
Et on ne lui pardonnera jamais.