
Par notre Bénévole Lhoucine BENLAIL Directeur général et le vice-président de la Ligue de Défense des Victimes d’Injustice en Europe

Par un observateur indigné, le 17 décembre 2025
Ah, Paris ! Ville Lumière, berceau de la Révolution, symbole éternel de l’égalité et de la fraternité. Et pourtant, sous ses toits haussmanniens et ses avenues bordées d’or, se trame un ballet obscur, un festin des élites où les princesses d’un royaume lointain étendent leur emprise, pierre par pierre, million par million. Comment ne pas s’indigner, comment ne pas questionner avec fureur cette invasion silencieuse des biens immobiliers les plus somptueux, orchestrée par les sœurs du roi Mohammed VI du Maroc ? Lalla Meryem, Lalla Hasna, Lalla Asma – ces noms évoquent-ils encore la noblesse d’un peuple, ou bien le pillage discret d’une nation appauvrie ?
Révélez-moi, je vous en prie, d’où proviennent ces fortunes colossales qui permettent à Lalla Meryem, l’aînée de 62 ans, de s’offrir un duplex fastueux dans les immeubles Walter de la 16e arrondissement, cette enclave des ultra-riches où le mètre carré défie l’imagination ? Quinze millions d’euros pour 438 mètres carrés de pur luxe, agrémentés de terrasses et de jardins suspendus ! Et ce n’est qu’un épisode dans une saga d’acquisitions et de reventes fulgurantes : des appartements dans le Triangle d’Or cédés pour 15,3 millions d’euros, un autre bien acquis en 2005 pour 2,7 millions et conservé comme un trophée. Par l’intermédiaire de sa société Unihold, elle tisse une toile d’investissements qui sent le privilège absolu. Mais qui paie la note ? Le peuple marocain, écrasé sous le poids de la pauvreté, des inégalités criantes et d’une monarchie qui s’arroge les richesses du sol ?

Et que dire de Lalla Hasna, cette princesse aux allures de stratège immobilière, qui, depuis 2020, déploie ses tentacules via des sociétés civiles immobilières (SCI) taillées sur mesure pour dominer le marché français ? Un hôtel particulier du XIXe siècle dans la 16e arrondissement, évalué à 7,7 millions d’euros ; cinq appartements acquis en cinq ans, dont un sur le quai d’Orsay pour 5 millions et un autre près de l’avenue Foch pour 6,8 millions ! Ses filles elles-mêmes, complices de cette dynastie en expansion, intègrent le cercle, avec Lalla Oumaima installant sa marque de joaillerie Ashaha près de l’avenue Montaigne. Mais l’ombre s’allonge encore : les Pandora Papers révèlent que Lalla Hasna a utilisé une société offshore pour acquérir une propriété à Londres en 2002, un manoir dissimulé derrière des écrans fiscaux opaques, trahissant une soif de discrétion qui pue la malversation. Est-ce là l’œuvre d’une famille royale soucieuse de son peuple, ou bien un empire familial qui siphonne les ressources publiques pour ériger des palais privés à l’étranger ? Alarme ! Alarme sur cette expatriation des capitaux, qui vide les coffres du Maroc au profit d’une élite déconnectée, tandis que des millions de sujets luttent pour un toit décent !
N’oublions pas Lalla Asma, la troisième sœur, dont les appétits immobiliers ne le cèdent en rien à ceux de ses aînées. Deux appartements dans la 7e arrondissement, près du Champ-de-Mars, pour 10 millions d’euros en 2010 ; et, avec Lalla Hasna, l’acquisition en 2019 de dix terrains loués à la chaîne Aldi pour près de 20 millions d’euros. Des investissements commerciaux, historiques, résidentiels – une diversification qui frise l’obsession. Mais posez-vous la question, chers lecteurs : ces princesses, issues d’une lignée qui règne sur un pays où le PIB par habitant peine à dépasser les 3 000 euros, comment accumulent-elles de telles sommes sans que l’ombre de la corruption ne plane ? N’est-ce pas un scandale criant que ces biens, nichés dans les quartiers les plus chers de Paris – où le mètre carré dépasse allègrement les 10 000 euros –, soient financés par des fonds qui devraient irriguer les écoles, les hôpitaux, les routes du Maroc ?
Et voici que l’État marocain, ce géant aux pieds d’argile, emprunte encore et encore des centaines de millions d’euros – 150 millions de la Banque africaine de développement pour des infrastructures locales, 270 millions supplémentaires pour moderniser les aéroports, sans oublier les 500 millions de la Banque européenne d’investissement pour reconstruire écoles et hôpitaux après le séisme. Le palais royal claironne des allocations pharaoniques : 140 milliards de dirhams (15 milliards de dollars) pour la santé et l’éducation en 2026, une hausse de 16 % par rapport à l’année précédente ! Mais à quoi bon ces chiffres ronflants si les hôpitaux publics croulent sous les pénuries, les problèmes d’hygiène et la corruption rampante, où les pots-de-vin atteignent 10 % dans le secteur de la santé publique ? Les écoles restent des ruines éducatives, les services publics empirent, laissant les jeunes de la génération Z hurler leur rage dans les rues contre la misère, l’inégalité et la corruption gouvernementale. Ces emprunts massifs ne servent-ils qu’à masquer un pillage organisé, où les élites s’enrichissent tandis que le peuple endure des conditions de vie qui s’aggravent, transformant les hôpitaux en “hôpitaux de la mort” et les écoles en usines à désespoir ?
Oh, la belle hypocrisie ! Tandis que le royaume alaouite clame son attachement à la modernité et à la justice sociale, ses princesses transforment la capitale française en leur terrain de jeu personnel, et l’État s’endette pour des mirages qui ne profitent qu’aux puissants. Paris, cette ville qui a guillotiné les rois pour instaurer la République, devient le refuge doré d’une aristocratie orientale. Et si ces transactions, révélées par la presse française comme Challenges, n’étaient que la pointe visible d’un iceberg de malversations ? Pourquoi ce timing précis, en cette fin d’année 2025, pour ces révélations explosives ? N’est-ce pas le signe d’une transition imminente, avec l’état de santé précaire de Mohammed VI – hospitalisations répétées à Paris, rumeurs de déclin saisissant – qui crée une atmosphère de fin de règne, attisant les luttes intestines au palais ? Ces fuites pourraient bien être orchestrées par des services de renseignement algériens ou espagnols, ou autres, dans un contexte de rivalités régionales exacerbées par le Sahara occidental et les tensions frontalières, visant à discréditer l’entourage royal et à compliquer une succession vers le jeune prince Moulay Hassan. Que cachent ces sociétés-écrans, ces SCI et Unihold ? Des flux financiers opaques, des évitements fiscaux, des liens avec des puissances étrangères ? L’alarme sonne, impitoyable : si rien n’est fait, cette voracité immobilière et ces dettes accumulées préfigurent un monde où les monarchies absolues pillent leurs nations pour bâtir des empires exilés, laissant derrière elles des peuples affamés et révoltés. Ces révélations marquent la fin d’un cycle de règne opaque et le début d’une ère incertaine, potentiellement chaotique, QU’ALLAH nous en préserve !
Il est temps de questionner, de dénoncer, de s’insurger ! Citoyens du monde, Français, Marocains, unissez vos voix contre cette injustice flagrante. Exigez la transparence, la reddition de comptes. Car si les princesses dansent dans les salons parisiens, c’est sur les ruines d’un idéal d’égalité que s’élève leur trône. Réveillez-vous, avant que l’ombre de ces palais ne recouvre tout !