
Édité par notre Bénévole Lhoucine BENLAIL Directeur général et le chef de la rédaction ALY BAKKALI TAHIRI du diplomaticnews.net
Maroc – co-écrit par : ALY BAKKALI TAHIRI, Chef de la Rédaction – Lhoucine BENLAIL, Directeur général de diplomaticnews.net
C’est un véritable séisme qui ébranle les structures du pouvoir local au Maroc ! Vingt présidents de communes, ces soi-disant élus du peuple, sont sur le point d’être suspendus de leurs fonctions pour des actes de prévarication odieux dans des affaires immobilières touchant six grandes villes du royaume. Mais attention, ce n’est que la partie émergée d’un iceberg putride : plus de 40 missions d’enquête lancées par le ministère de l’Intérieur, suite à des plaintes accablantes, ont déjà mis au jour une myriade de dysfonctionnements et d’abus qui font froid dans le dos. Si rien n’est fait pour stopper cette hémorragie, le Maroc risque de sombrer dans un chaos total, où la confiance citoyenne sera irrémédiablement brisée et les ressources publiques dilapidées par une élite vorace !
Ces prédateurs en col blanc sont accusés de trafic de documents immobiliers, un “business” florissant qu’ils camouflent lâchement en déléguant la sale besogne à des subalternes dans les services d’urbanisme des communes concernées.
Imaginez : des attributions illégales de foncier communal, des détournements de deniers publics, et des procès judiciaires qui ont saigné à blanc le Trésor public ! C’est une véritable mafia organisée qui opère dans l’ombre, en collusion avec des promoteurs immobiliers influents, falsifiant des documents d’urbanisme pour contourner les règles et s’enrichir sur le dos des citoyens ordinaires. Et ce n’est pas tout : des irrégularités dans les autorisations commerciales, des contrats publics opaques attribués à des entreprises complices, des constructions illégales dans des zones réglementées
– la liste des horreurs est interminable et fait bouillir le sang de tout honnête Marocain ! Sous la houlette du ministère de l’Intérieur, dirigé par Abdelouafi Laftit, une “opération mani pulite” – inspirée de la célèbre purge anti-corruption italienne – est en marche, visant à éradiquer ces vermines du paysage politique. Ces élus véreux seront bientôt écartés par le tribunal administratif, et il n’est pas exclu que des limogeages touchent même des présidents de conseils régionaux.
Ces prédateurs en col blanc sont accusés de trafic de documents immobiliers, un “business” florissant qu’ils camouflent lâchement en déléguant la sale besogne à des subalternes dans les services d’urbanisme des communes concernées. Imaginez : des attributions illégales de foncier communal, des détournements de deniers publics, et des procès judiciaires qui ont saigné à blanc le Trésor public ! C’est une véritable mafia organisée qui opère dans l’ombre, en collusion avec des promoteurs immobiliers influents, falsifiant des documents d’urbanisme pour contourner les règles et s’enrichir sur le dos des citoyens ordinaires. Et ce n’est pas tout : des irrégularités dans les autorisations commerciales, des contrats publics opaques attribués à des entreprises complices, des constructions illégales dans des zones réglementées – la liste des horreurs est interminable et fait bouillir le sang de tout honnête Marocain !
Et le comble de la trahison ? Face à cette vague inexorable de destitutions, plusieurs présidents de communes, leurs adjoints et fonctionnaires territoriaux ont

choisi la fuite lâche vers l’étranger, évitant ainsi la justice qu’ils méritent amplement ! Sous des prétextes fallacieux comme des vacances, des motifs familiaux ou des traitements médicaux, ces fuyards se réfugient aux États-Unis, en Espagne ou ailleurs, avec l’intention souvent de s’y installer définitivement. Par exemple, un élu récemment destitué de la province de Nouaceur a filé aux États-Unis en prétextant accompagner son fils pour des inscriptions universitaires, tandis qu’un président de la province de Médiouna a pris la poudre d’escampette après avoir été averti de son tour imminent. Ces actes de désertion ne font qu’aggraver le scandale, prouvant que ces corrompus n’ont aucune loyauté envers le Maroc et préfèrent abandonner leur peuple à la misère qu’ils ont créée !
Cette corruption rampante n’est pas un incident isolé ; elle alimente un climat de tension explosive au Maroc. Alors que des violences inédites secouent le pays, avec plus de 400 interpellations et près de 300 blessés lors de manifestations récentes, le collectif GenZ 212 appelle à de nouvelles protestations contre un système pourri jusqu’à la moelle. Le peuple en a assez : “Le peuple veut en finir avec la corruption”, clame-t-on dans les rues, où la répression brutale a déjà coûté la vie à quatre innocents – trois abattus par des balles réelles et un écrasé par une camionnette de police qui a foncé sur le trottoir, comme le montrent des vidéos accablantes circulant en ligne. Si ces hauts responsables ne sont pas traînés devant la justice, si les fuyards ne sont pas extradés et punis sévèrement, le Maroc risque une implosion sociale totale, avec des conséquences catastrophiques pour l’économie, la culture et l’avenir des générations futures !
– mais au-delà des apparences touristiques, c’est l’âme du Maroc qui est en péril ! Il est temps de hurler notre indignation et d’exiger une justice impitoyable !