Édité par notre Bénévole le chef de la rédaction ALY BAKKALI
Source: Divers, Al-Manar
réorganiser juridiquement leur situation.Le représentant syrien leur a fait part que « les crimes commis lors de l’ancien régime avec la participation de certaines factions palestiniennes, leurs auteurs seront jugés séparément des factions auxquelles ils appartiennent ».En 2012, le prédécesseur d’HTS, le Front al-Nosra, a envahi et occupé le camp de Yarmouk, cherchant à en faire un point de passage pour conquérir Damas. Le camp a été en grande partie détruit au cours des années suivantes pendant les combats. Daech (État islamique) a également occupé le camp et s’est battu contre l’armée syrienne et les factions palestiniennes qui s’y trouvaient.Dans un article, Ibrahim Amin, le rédacteur en chef du quotidien libanais Al-Akhbar a estimé que le résultat concret de ces mesures prises par HTS, se traduit par l’interdiction pour les Palestiniens d’utiliser la Syrie comme quartier général ou comme lieu de passage pour toute activité dirigée contre l’entité sioniste.« Bien que le nouveau gouvernement syrien ne parle pas de nouer des relations avec Israël, ses représentants parlent de prendre des mesures pratiques pour empêcher toute résistance existante ou potentielle contre Israël à partir du territoire syrien » fait remarquer al-Amine.Et de conclure « qu’Israël pourrait chercher à contraindre le gouvernement libanais à prendre des mesures similaires contre les factions palestiniennes dans les camps de réfugiés au Liban ».