21 November 2024

Édité par le rédacteur en chef ALY BAKKALI TAHIRI

Si l’on retrace l’histoire de cet homme, on découvrira qu’il a des liens étroits avec l’Etat islamique et qu’il est le lien entre cette organisation et l’administration de Washington. La Turquie était le seul pays qui a ouvert ses frontières à tous les candidats “Jihadistes du monde occidentale, d’Afrique du Nord et de l’Asie Centrale, qui atterissaient à Istanbul et pour 15 euros étaient transportés à la frontière Syrienne

où se trouvaient les superviseurs qui dispachtaient les nouveaux Jihadistes dans les groupes DAESH, ANNOSRA, L’ARMÉE SYRIENNE LIBRE etc…

Erdogan et la Turquie doivent donner des réponses sur tout ce qui s’est passé à Moscou et sur les raisons pour lesquelles il y a eu une réunion entre le ministre turc des Affaires étrangères et le secrétaire d’État américain, quelques jours avant l’opération criminelle, et sur ce qu’ils faisaient en Turquie avec deux des criminels. impliqué dans les événements terroristes lors de la visite du secrétaire d’État américain dans ce pays.Bien entendu, la Turquie ne pouvait décider de réaliser ou planifier une telle opération sans obtenir des garanties et le feu vert de Washington.

Pourquoi la Turquie ferait-elle cela ? La Russie est un adversaire farouche de la Turquie, tant en Libye qu’en Syrie, et la présence de troupes russes en Turquie est très inquiétante. Elle ne veut pas de relations russo-arabes. Il estime même que le monde islamique et le monde arabe doivent être sous son égide, car – d’une part – il aspire et cherche à restaurer l’héritage ottoman dans le monde islamique et arabe et – d’autre part – il œuvre au service du l’Ouest selon un agenda prévu pour le Moyen-Orient.Par ailleurs, la Turquie est considérée comme un rempart imprenable contre toute communication russo-arabe-islamique, à tous points de vue : géographique, politique, historique et idéologique.Jusqu’à présent, ces choses semblent normales et classées comme un conflit d’intérêts suprêmes des États… Mais seulement pour l’instant, car nous verrons ce que nous réservent les enquêtes en cours sur le crime abominable commis contre la Russie.

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