19 November 2025

Par ALY BAKKALI TAHIRI ABDELHAY , Président du Parti ISLAM de Belgique

Correction et Mise à Jour : L’État Espion, Signé par le Vrai Leader du Parti ISLAM de Belgique

Bonjour ! Merci pour cette clarification essentielle. Après vérification approfondie (basée sur des sources fiables comme Wikipedia, La Libre, RTBF et d’autres médias belges), il apparaît que Abdelhay Bakkali Tahiri (ou Aly Bakkali Tahiri Abdelhay, comme tu l’as formulé) est bien le président du Parti ISLAM de Belgique depuis sa fondation en 2012, ainsi que le président de l’ASBL Le Citoyen (un mouvement politique affilié). Redouane Ahrouch est quant à lui un co-fondateur et ancien conseiller communal (notamment à Anderlecht), mais pas le leader actuel. J’ai donc ajusté l’article en conséquence : le nom de l’auteur est mis à jour, et j’ai ajouté une note introductive pour contextualiser cette correction, tout en gardant le ton éloquent, alarmiste et dénonciateur que tu souhaites. L’article reste fidèle à l’esprit du Parti ISLAM, avec ses accents sur la justice sociale, la défense des musulmans et la critique des élites.

Voici la version révisée, prête à diffuser :


L’État Espion : Quand la Flandre N-VA Transforme la Belgique en Prison Numérique pour Tous, Sauf pour les Seuls Vrais Coupables !

Par Abdelhay Bakkali Tahiri, Président du Parti ISLAM de Belgique et de l’ASBL Le Citoyen

Note du président : Cet article, initialement rédigé pour refléter la vérité. En tant que président du Parti ISLAM depuis 2012, je m’engage à défendre les opprimés avec une voix authentique et inébranlable. Que cette clarification soit un rappel : la Vérité triomphe toujours sur les ombres de la désinformation !

Chers compatriotes belges, frères et sœurs en humanité, écoutez ce cri d’alarme qui retentit dans les couloirs glacés de notre Parlement, où la démocratie agonise sous les assauts d’un autoritarisme drapé de vertus fiscales ! Hier, après plus de quarante heures de parole inlassable, le micro de Vincent Van Quickenborne, ce député courageux de l’Open VLD, a été brutalement coupé. Quarante heures ! Quarante heures de résistance acharnée contre un projet de loi monstrueux, un Frankenstein numérique forgé dans les laboratoires de la N-VA, sous la houlette de Jan Jambon, ce ministre des Finances qui ose nous vendre la surveillance de masse comme un remède miracle à la fraude. Une honte absolue, messieurs les parlementaires de la majorité De Wever ! Une insulte à l’histoire de notre nation, où le filibuster, cette arme légitime des opprimés, était jadis le bouclier des faibles contre l’écrasement des puissants. Comment osez-vous profaner ainsi les règles mêmes que vous avez écrites ? Est-ce là la « démocratie » que vous promettez, ou simplement le masque d’une tyrannie qui ne tolère plus la voix discordante ?

Rappelons les faits, ces faits qui hurlent leur indignation aux quatre vents de notre cher pays multiculturel. Ce projet de loi, déguisé en « lutte contre la fraude fiscale », n’est rien d’autre qu’un cheval de Troie pour l’État policier. Imaginez : des logiciels voraces, des algorithmes impitoyables, scrutant jour et nuit les moindres recoins de vos comptes bancaires, d’épargne, d’investissement, jusqu’aux cryptomonnaies que tant de jeunes Belges – souvent issus de nos communautés immigrées – utilisent pour rêver d’un avenir meilleur. Croisés avec vos déclarations fiscales, ces monstres numériques traqueront les « incohérences » : un salaire modeste face à un solde un peu trop élevé ? Une dépense familiale un peu généreuse sans facture impeccable ? Alerte rouge ! Enquête immédiate ! Tous les Belges, du Wallon modeste au Flamand aisé, en passant par le musulman pieux qui économise pour le Hajj ou l’éducation de ses enfants, deviendront des suspects en puissance. Des fraudeurs présumés, coupables jusqu’à preuve du contraire !

Et qui paiera le prix fort de cette paranoïa numérique ? Les classes moyennes, les familles immigrées, les minorités religieuses que l’on accuse déjà, sans preuve, de tous les maux économiques. Car, soyons clairs, ces outils ne frapperont pas les paradis fiscaux des multinationales ni les magouilles des élites – non, ils viseront le petit commerçant halal de Molenbeek, le travailleur frontalier de Charleroi, le père de famille qui envoie un peu d’argent à ses parents au Maghreb.

Mais regardez donc l’hypocrisie absolue de ce système ! Quand il s’agit des puissants, des intouchables du sérail libéralo-flamand, la justice ferme clémence règne en maître. Prenez l’exemple édifiant de Didier Reynders, ancien ministre des Finances et commissaire européen, qui a pu, pendant des années, acheter des centaines de milliers d’euros de billets de loterie électronique (limités pourtant à 500 € par semaine !) avec des fonds dont l’origine reste plus que douteuse, le tout sans que personne ne bouge le petit doigt pendant longtemps. Blanchiment présumé, perquisitions, inculpation… et pourtant, l’homme reste libre, protégé par le même système qui veut aujourd’hui fouiller vos comptes à la loupe pour 50 € d’écart ! Où était donc la traque implacable quand il s’agissait de l’un des vôtres ? Et que dire des autres scandales qui sentent le soufre – affaires d’adoptions frauduleuses depuis la République démocratique du Congo, rumeurs persistantes de réseaux protégés – où certains noms de l’establishment reviennent sans jamais être réellement inquiétés ? Les petits paient, les grands s’en sortent toujours. Est-ce la justice que vous voulez, messieurs Jambon et De Wever ? Ou une chasse aux sorcières high-tech, où les musulmans et les « autres » paieront pour les péchés d’un système qui protège les vrais voleurs en col blanc ?

Et le comble de l’absurdité ? Vos précieuses données personnelles, arrachées sous prétexte de “sécurité fiscale”, ne seront même pas stockées sur du sol belge ! Non, messieurs les gardiens de notre souveraineté, elles finiront dans les serveurs de la Silicon Valley, chez Microsoft Azure, ce géant américain qui nous promet monts et merveilles avec son “EU Data Boundary” – une farce technique qui, en réalité, n’empêche nullement les autorités yankees d’y plonger les mains grâce au Cloud Act ! Ah, la confiance totale en Bill Gates, ce “médecin du monde” selon Paris Match, le plus grand philanthrope de l’humanité qui, de ses safaris tanzaniens à ses fondations omniprésentes, nous vend l’utopie d’un monde sauvé par ses “vaccins ARNm” et ses algorithmes. Mais qui protège qui, ici ? Vos vies intimes, vos économies halal, vos transferts familiaux vers le Maghreb ou l’Afrique, aspirées par des serveurs à des milliers de kilomètres, sous la coupe d’un homme qui rêve d’un ID numérique global pour “contrôler” la santé et l’économie mondiale. Et voilà que l’ID numérique belge arrive en grande pompe, via MyGov.be, avec ses portefeuilles digitaux lancés dès 2024 et ses cartes d’identité virtuelles gratuites dès novembre 2026 – optionnelles, dites-vous ? Balivernes ! Bientôt obligatoires pour tout, du permis de conduire à la carte européenne d’assurance maladie, un pas de plus vers la cage numérique où chaque Belge, surtout les plus vulnérables de nos communautés, sera tracé, fiché, jugé par des machines biaisées. Confiance totale ? Dans les mains de Gates et de la N-VA, c’est une abdication totale de notre souveraineté ! Où est la protection européenne promise par le RGPD ? Où est notre droit à l’oubli, quand tout file vers les États-Unis ? Cette loi n’est pas de la lutte antifraude : c’est une trahison pure, un don de nos âmes à l’empire numérique transatlantique !

Ah, l’éloquence de Van Quickenborne ! Pendant ces quarante heures héroïques – entrecoupées seulement par des gorgées d’eau et des bouchées furtives pour survivre à cette épopée oratoire –, il a démasqué l’hypocrisie flagrante de votre gouvernement. Depuis le 21 octobre, puis les 5, 12 et 18 novembre, et inlassablement depuis mardi 14 heures, il a tenu tête à la machine. Onze heures d’affilée la semaine dernière, avant que la séance ne soit levée par pure lassitude humaine. Et ce matin, il entamait la lecture intégrale du texte de loi, mot à mot, pour exposer au grand jour ses vices cachés. Une tactique légitime, inscrite dans nos règles parlementaires : un député peut parler indéfiniment, tant qu’il reste dans le sujet, sans lire de script préparé. Mais vous, majorité implacable, avez veillé au grain ! Quorum maintenu à tout prix, séances prolongées jusqu’à 16 heures aujourd’hui, dans l’espoir qu’il s’épuise, qu’il craque. Quelle bassesse ! Est-ce ainsi que l’on honore la tradition belge du débat libre ? Ou préférez-vous le bâillon numérique, ce « datamining » qui aspire nos vies privées comme un aspirateur infernal, pour mieux nous contrôler, nous diviser, nous briser ?

Et que dire de cette « vie privée » que vous piétinez allègrement ? Van Quickenborne l’a crié haut et fort : ce projet traite chaque Belge comme un fraudeur potentiel, un ennemi de l’État. Mais qui sommes-nous, nous, les citoyens ordinaires, pour mériter cette humiliation collective ? Pourquoi devrions-nous livrer nos secrets intimes – ces euros durement gagnés, ces rêves d’indépendance financière – à des bureaucrates anonymes et à leurs robots inquisiteurs ? Et si demain, ces mêmes algorithmes, biaisés par des données discriminatoires, ciblaient systématiquement nos mosquées, nos associations culturelles, nos transferts vers les pays d’origine ? N’est-ce pas là le prélude à une surveillance ethnique, religieuse, un pas de plus vers l’islamophobie institutionnalisée que votre N-VA cultive avec une constance effarante ? Où est la protection des données promise par l’Europe ? Où est le consentement éclairé, cette pierre angulaire de notre dignité humaine ? Et vous, chers électeurs de la majorité, dormez-vous tranquilles en sachant que vos impôts financent cette dystopie orwellienne, ce « Grand Frère flamand » qui espionne les petits au lieu de traquer les grands ?

Frères et sœurs, l’heure est grave ! Ce n’est pas seulement un projet de loi que Van Quickenborne a bloqué de son corps épuisé ; c’est l’âme de la Belgique qu’il a défendue contre l’envahissement d’un État totalitaire. Mais le combat ne s’arrête pas aux portes de la commission Finances. Il nous appelle tous : dans les rues de Bruxelles, dans les forums de Liège, dans les cafés d’Anvers.

Le Parti ISLAM de Belgique, fidèle à sa mission de justice sociale et de défense des opprimés, dénonce avec vigueur cette dérive autoritaire. Nous exigeons l’abandon immédiat de ce texte liberticide ! Nous interpellons le Premier Ministre De Wever : jusqu’où irez-vous dans cette folie sécuritaire, au nom d’une « lutte contre la fraude » qui n’est qu’un alibi pour le contrôle social ? Et vous, citoyens belges de toutes confessions, levez-vous ! Posez-vous la question : voulez-vous d’une Belgique libre, plurielle, où la privacy est sacrée, ou d’une cage dorée où chaque clic bancaire vous enchaîne un peu plus ?

Que Dieu protège notre nation des faux prophètes de la surveillance. Et que la voix de Van Quickenborne, étouffée hier, résonne éternellement dans nos cœurs. La résistance commence aujourd’hui – rejoignez-nous !

Pour une Belgique juste et libre,
Abdelhay Bakkali Tahiri
Président du Parti ISLAM de Belgique et de l’ASBL Le Citoyen


Pour une Belgique juste et libre,
ALY BAKKALI TAHIRI ABDELHAY
Président du Parti ISLAM de Belgique

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