1 July 2025

Édité par notre Bénévole Lhoucine BENLAIL Directeur Officiel Diplomaticnews.net

Benlail Lhoucine, vice-président de la Ligue de Défense des Victimes d’Injustice en Europe

Benlail Lhoucine
Vice-président de la Ligue de Défense des Victimes d’Injustice en Europe

Je m’appelle Benlail Lhoucine, vice-président de la Ligue de Défense des Victimes d’Injustice en Europe. Je dénonce aujourd’hui une série de persécutions graves que j’ai subies en Belgique, notamment en Wallonie, mettant en lumière un harcèlement institutionnel organisé, des pratiques discriminatoires et une volonté claire de m’isoler économiquement, socialement et psychologiquement.

Tout a commencé par des menaces proférées publiquement par un agent des renseignements généraux de Liège, affirmant devant témoins qu’il me ferait interner en hôpital psychiatrique. Il a mis sa menace à exécution. J’ai été enfermé contre mon gré au centre “Petit Bourgogne”, dans une chambre insalubre, isolé, privé de mes droits fondamentaux. On m’a humilié, contraint à prendre des médicaments inconnus, et mes vêtements ont été jetés à terre et piétinés par le personnel. Des actes d’un racisme systémique violent et déshumanisant.

Pire encore : tous les responsables sont identifiés. Si un jour un malheur devait toucher ma famille, les auteurs sont déjà connus.

À cela s’ajoute une exclusion bancaire totale orchestrée par le réseau bancaire wallon. Après près de 20 ans de fidélité, mon compte a été fermé par la Banque de la Poste sans justification. Ensuite, toutes les banques associées à cet établissement m’ont également interdit d’accès. Cette décision a coïncidé avec l’achat d’une maison en Wallonie, qui a été possible grâce à un crédit accordé par une banque en Flandre.

J’ai également ouvert un compte bancaire en Flandre, mais je reste domicilié en Wallonie. C’est cette réalité qui a déclenché la crise : ils ne voulaient pas que je reste en Wallonie. Pourtant, j’ai réussi à conserver ma résidence en Wallonie grâce à l’aide financière et bancaire de la Flandre. Ils ont peur de moi, de mes compétences et de ce que je représente.

Je précise également que plusieurs avocats ont refusé de traiter mon dossier, invoquant des engagements politiques. Il s’agit là d’un aveu de l’influence que certains réseaux exercent pour étouffer les vérités gênantes.

Enfin, un agent de la PGF (Police Générale Fédérale) a tenté de contacter ma femme dans le but de la manipuler contre moi. Bien que l’appel n’ait pas été reçu, le numéro reste identifié et prouve l’ampleur de l’intimidation dont nous sommes victimes.

Un agent de la PGF a même tenté de contacter ma femme pour la retourner contre moi. Heureusement, l’appel n’a pas été reçu. Le numéro est identifié et reste une preuve supplémentaire de cette campagne d’intimidation.

Cette affaire dépasse mon vécu personnel. Elle révèle une crise morale, judiciaire et politique en Belgique, et démontre la nécessité urgente d’un sursaut institutionnel. Je reste déterminé à faire valoir mes droits jusqu’aux plus hautes juridictions, y compris la Cour Européenne des Droits de l’Homme.

Ce combat n’est pas seulement le mien. C’est celui de tous ceux qui refusent l’injustice, le racisme et la manipulation d’État.

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *