7 November 2024

L’OMS exige des passeports vaccinaux et des fermetures de frontières : Les pays membres contraints de suivre ses ordres

Édité par notre Bénévole Lhoucine BENLAIL Directeur Officiel Diplomaticnews.net

source : Réseau international.Org, The Telegraph via Géopolitique Profonde

demandent au ministère des Affaires étrangères de bloquer les pouvoirs qui «semblent empiéter matériellement sur la capacité du Royaume-Uni à établir ses propres règles et à contrôler ses propres budgets.»En réponse à ces préoccupations, Andrew Mitchell, ministre des Affaires étrangères, a déclaré au Telegraph qu’il bloquerait toute loi empêchant le Royaume-Uni de définir sa propre politique en matière de santé :«Le Royaume-Uni soutient le traité sur les pandémies actuellement négocié par les gouvernements nationaux, qui pourrait accélérer le partage des données sur les nouvelles menaces de pandémie afin que nous soyons en mesure de réagir rapidement en cas de pandémies futures», a-t-il déclaré.«Nous sommes clairs sur le fait que nous n’accepterons jamais rien qui ne respecte pas nos principes de souveraineté ou qui empêche le Royaume-Uni de prendre des mesures décisives contre les futures pandémies.»

Changements visant à rendre les avis de l’OMS «contraignants»Ces modifications ont été proposées dans le cadre du projet de mise à jour du règlement sanitaire international (RSI) de l’OMS à la lumière de la pandémie de coronavirus et de l’établissement d’un nouveau traité sur la préparation aux pandémies.Le traité a été proposé pour la première fois par des dirigeants mondiaux, dont Boris Johnson, en 2021, lors de la pandémie.À l’origine, il visait à améliorer les systèmes d’alerte, le partage des données et la production de vaccins afin de «favoriser une approche de l’ensemble du gouvernement et de l’ensemble de la société.»Toutefois, parmi les 300 amendements proposés au RSI figurent des modifications visant à rendre les avis de l’OMS «contraignants» et à introduire une nouvelle obligation pour les pays de reconnaître l’OMS comme l’autorité mondiale en matière de mesures de santé publique.Le plan exigerait des pays membres qu’ils «reconnaissent l’OMS comme l’autorité d’orientation et de coordination de la réponse internationale en matière de santé publique et qu’ils s’engagent à suivre les recommandations de l’OMS dans leur réponse internationale en matière de santé publique.»S’il est adopté, ce changement signifierait que l’OMS pourrait imposer des fermetures de frontières, des mesures de quarantaine et des passeports vaccinaux à tous les pays membres, y compris le Royaume-Uni.Un projet de traité prévoit que les États membres s’engagent à consacrer 5% de leur budget de santé, plus une proportion du PIB, à la préparation aux pandémies.

pendant la pandémie, notamment lorsqu’elle a affirmé que le Covid était définitivement d’origine zoonotique et qu’elle a nié, en avril 2020, le rôle de l’immunité naturelle dans la protection contre l’infection.»