8 July 2025

Édité par notre Bénévole Lhoucine BENLAIL Directeur Officiel Diplomaticnews.net

1. La Wallonie avance… 
La Wallonie vient d’interdire aux particuliers l’abattage à domicile des moutons, chèvres et porcs. Une mesure défendue par le ministre-président Adrien Dolimont, censée incarner le progrès du bien-être animal

2. Le paradoxe qui déchire 
Pourtant, tandis que l’Europe légifère pour épargner la souffrance animale, un silence assourdissant entoure Gaza

– Des enfants Palestiniens agonisent sous les bombes, 

– Des familles sont ensevelies vivantes sous les décombres, 

– Hôpitaux et civils sont privés de nourriture, d’eau et de soins par des blocus inhumains. 

La question brûle les lèvres : 

> “Comment un monde si prompt à protéger les brebis peut-il abandonner des nouveau-nés sous les décombres ?”

3. Deux réalités, deux traitements
D’un côté :

– Les ONG animalières imposent leurs lois dans les parlements, 

– L’indignation collective fuse contre la maltraitance d’un chien ou d’un chat, 

– Les médias amplifient chaque avancée législative. 

De l’autre : 

– Les institutions internationales (ONU, UE) observent passivement le massacre, 

– L’aide humanitaire est bloquée aux portes de l’enfer, 

– Les grands défenseurs des droits humains (Amnesty, HRW) semblent paralysés. 

>“Amnesty International dénonce un élevage intensif… mais étouffe un cri devant l’extermination de familles à Gaza.”


4. Gaza : l’urgence de l’humanité bafouée
Chaque jour à Gaza est un défi à la conscience mondiale : 

Des enfants tués par centaines de milliers, chiffres devenus statistiques, 

Des blessés condamnés à mourir faute de médicaments, 

L’odeur des cadavres remplaçant celle du pain dans les rues. 

La dignité humaine n’y est plus qu’un slogan vide. 

5. L’hypocrisie mise à nu** 
Cette compassion sélective révèle une faillite morale

– On criminalise l’abattage non régulé d’un mouton en Wallonie… 

– … mais on tolère l’abattage méthodique d’enfants dans l’indifférence. 

> *“Gaza ne réclame pas la pitié, mais la justice. Le droit le plus élémentaire : celui de respirer.”


6. Conclusion : L’humanité à la croisée 
La ligne rouge est franchie :

> “Quand le bêlement d’une brebis émeut davantage que le dernier souffle d’un enfant, c’est notre âme collective qui se meurt.”


Gaza n’est pas une “crise”. C’est le miroir fracassé de nos valeurs. La vraie question n’est plus “Comment protéger les animaux ?”* mais : 

“Sommes-nous encore capables de protéger notre propre humanité ?”

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