
Édité par notre Bénévole Lhoucine BENLAIL Directeur Officiel Diplomaticnews.net

1. La Wallonie avance…
La Wallonie vient d’interdire aux particuliers l’abattage à domicile des moutons, chèvres et porcs. Une mesure défendue par le ministre-président Adrien Dolimont, censée incarner le progrès du bien-être animal.
2. Le paradoxe qui déchire
Pourtant, tandis que l’Europe légifère pour épargner la souffrance animale, un silence assourdissant entoure Gaza :
– Des enfants Palestiniens agonisent sous les bombes,
– Des familles sont ensevelies vivantes sous les décombres,
– Hôpitaux et civils sont privés de nourriture, d’eau et de soins par des blocus inhumains.
La question brûle les lèvres :
> “Comment un monde si prompt à protéger les brebis peut-il abandonner des nouveau-nés sous les décombres ?”*
3. Deux réalités, deux traitements
D’un côté :
– Les ONG animalières imposent leurs lois dans les parlements,
– L’indignation collective fuse contre la maltraitance d’un chien ou d’un chat,
– Les médias amplifient chaque avancée législative.
De l’autre :
– Les institutions internationales (ONU, UE) observent passivement le massacre,
– L’aide humanitaire est bloquée aux portes de l’enfer,
– Les grands défenseurs des droits humains (Amnesty, HRW) semblent paralysés.
>“Amnesty International dénonce un élevage intensif… mais étouffe un cri devant l’extermination de familles à Gaza.”
4. Gaza : l’urgence de l’humanité bafouée
Chaque jour à Gaza est un défi à la conscience mondiale :
– Des enfants tués par centaines de milliers, chiffres devenus statistiques,
– Des blessés condamnés à mourir faute de médicaments,
– L’odeur des cadavres remplaçant celle du pain dans les rues.
La dignité humaine n’y est plus qu’un slogan vide.
5. L’hypocrisie mise à nu**
Cette compassion sélective révèle une faillite morale :
– On criminalise l’abattage non régulé d’un mouton en Wallonie…
– … mais on tolère l’abattage méthodique d’enfants dans l’indifférence.
> *“Gaza ne réclame pas la pitié, mais la justice. Le droit le plus élémentaire : celui de respirer.”*
6. Conclusion : L’humanité à la croisée
La ligne rouge est franchie :
> “Quand le bêlement d’une brebis émeut davantage que le dernier souffle d’un enfant, c’est notre âme collective qui se meurt.”*
Gaza n’est pas une “crise”. C’est le miroir fracassé de nos valeurs. La vraie question n’est plus “Comment protéger les animaux ?”* mais :
“Sommes-nous encore capables de protéger notre propre humanité ?”