
Par le rédacteur en chef ALY BAKKALI TAHIRI
Attention, citoyens du monde ! Est-ce vraiment un suicide, ou un assassinat froidement orchestré pour éliminer un symbole de la résistance contre le génocide en cours ?
Nkosinathi Emmanuel Mthethwa, l’ambassadeur d’Afrique du Sud en France, a été retrouvé mort ce mardi 30 septembre 2025, gisant au pied de l’hôtel Hyatt à la porte Maillot (XVIIe arrondissement de Paris). Son corps, écrasé après une chute du 22e étage, soulève des questions explosives : comment un homme au cœur de la bataille diplomatique contre Israël peut-il “se défenestrer” si opportunément ? N’est-ce pas trop commode pour les puissances qui cherchent à étouffer les voix dénonçant l’horreur à Gaza ? Les autorités françaises, promptes à classer l’affaire, parlent déjà d’un “acte délibéré sans intervention d’un tiers”, selon le parquet de Paris. Mais soyons sérieux : qui croit encore à ces “suicides” parfaits quand les enjeux sont si colossaux ? Mthethwa, 58 ans, était activement recherché depuis lundi pour risque suicidaire, après un message “inquiétant” envoyé à son épouse vers 21h30, où il s’excusait et évoquait l’intention de mettre fin à ses jours. Dans sa chambre d’hôtel – réservée dix jours plus tôt, comme si tout était prémédité – le mécanisme de sécurité de la fenêtre a été forcé avec des ciseaux laissés sur place. Aucune trace de lutte, ni de médicaments ou stupéfiants ? Précisément le genre de scène immaculée que l’on voit dans les opérations secrètes ! Et pourquoi cet hôtel luxueux, loin de son domicile, alors qu’il prétendait se rendre à un cocktail ? Tout pue la mise en scène ! Réveillez-vous ! Ce n’est pas un hasard si c’est l’Afrique du Sud qui a osé déposer plainte contre Israël pour génocide devant la Cour internationale de Justice (CIJ) en décembre 2023. Un acte courageux qui a mis en lumière les atrocités commises à Gaza, menant in fine à la reconnaissance par l’ONU elle-même du génocide perpétré par Israël ! Oui, vous avez bien lu : une commission indépendante des Nations Unies a conclu, le 16 septembre 2025, que Israël a commis un génocide contre les Palestiniens, avec une intention claire de destruction. Et que dire des mandats d’arrêt émis par la Cour pénale internationale (CPI) contre les génocidaires Benjamin Netanyahu et Yoav Gallant, pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité ? Ces warrants, délivrés le 21 novembre 2024, ont scellé le sort des dirigeants israéliens comme des parias internationaux. Mthethwa, en tant qu’ambassadeur et délégué à l’UNESCO, incarnait cette offensive diplomatique sud-africaine – n’est-ce pas une cible idéale pour ceux qui veulent venger cette humiliation ? Et regardez plus loin : cette “mort” suspecte fait écho à l’assassinat récent de Charlie Kirk, le militant conservateur pro-Israël tué par balle le 10 septembre 2025 lors d’un événement à l’Université Utah Valley. Pourquoi Netanyahu multiplie-t-il les vidéos pour se disculper, clamant à tout va “Je n’ai rien à voir avec son assassinat” ? À force de se justifier, il ne fait qu’attiser les soupçons ! Kirk avait osé avertir Netanyahu dans une lettre que Israël perdait la guerre de l’information aux États-Unis, et a osé s’opposer à Trump car ce dernier suit aveuglement le génocidaire Benjamin Netanyahu qui l’incitait à la guerre contre l’Iran, critiquant subtilement la stratégie israélienne. Résultat ? Il est éliminé, et les théories conspirationnistes pointent du doigt Israël et le Mossad. Coïncidence ? Absolument pas ! Ces “morts” bizarres s’enchaînent, et il est temps de crier haut et fort : MÉFIEZ-VOUS ! Rappelez-vous la devise du Mossad : “Par la ruse et le mensonge, tu feras la guerre”. Et un ancien agent l’a résumé sans ambiguïté : « Tu peux voler. Tu peux mentir. Tu peux te battre. Et dans certains cas extrêmes, tu peux tuer ». Le mensonge comme outil, la tromperie comme arme – voilà qui explique ces “suicides” trop parfaits ! Israël, sous Netanyahu, n’hésite pas à éliminer ceux qui menacent son impunité. Mthethwa, héros de la lutte anti-apartheid, ancien ministre de la Police et des Arts et de la Culture sous Zuma, n’était pas un homme à se laisser briser. Il avait gravi les échelons : secrétaire de la Ligue de la jeunesse de l’ANC en 1994, député en 2002, président de la commission parlementaire sur les mines et l’énergie… Affecté en France en février 2024, il portait haut les valeurs de justice de son pays. Sa disparition n’est pas une tragédie personnelle : c’est un avertissement à tous ceux qui osent défier les génocidaires ! L’enquête du 1er District de police judiciaire doit révéler la vérité – mais qui parie sur une transparence totale ? L’ambassade sud-africaine reste injoignable, et le silence assourdissant des médias cache-t-il une peur plus grande ? Ouvrez les yeux : ce n’est pas un suicide, c’est un meurtre camouflé pour protéger les coupables de Tel-Aviv !
Justice pour Mthethwa, justice pour Gaza !