Édité par notre Bénévole Lhoucine BENLAIL Directeur Officiel Diplomaticnews.net
La Team Fouad Ahidar appelle à la raison face à la violence et aux accusations infondées La Team Fouad Ahidar et ses membres sont profondément choqués par la violence qui s’est emparée de la campagne électorale aux États-Unis. Par la voix d’un militant, le parti exprime ses plus sincères condoléances aux victimes et à leurs familles, et souhaite un prompt rétablissement au président Donald Trump ainsi qu’aux spectateurs blessés dans cet attentat odieux contre la démocratie. Depuis l’élection démocratique de Donald Trump à la présidence de ce grand pays, il y a près de huit ans, il a été la cible d’accusations diverses de la part des grands médias, de ses opposants politiques et de l’appareil judiciaire, détourné pour être utilisé comme une arme contre cet homme. Toutes les accusations contre lui se sont révélées fausses et sans fondement. Les discours de haine l’accusant de nier la démocratie, le comparant à Hitler et proférant bien d’autres insultes, ont conduit à des actes de violence, notamment un attentat perpétré par un jeune homme que les médias décrivent comme solitaire, sans la moindre enquête préalable, alimentant ainsi les théories complotistes les plus folles.
La Violence Verbale et ses Conséquences
La violence verbale, souvent relayée par les journalistes et les politiciens, peut se traduire en actes de violence par de simples citoyens. Aujourd’hui, à Bruxelles, après une campagne discrète de la Team Fouad Ahidar, rarement reprise par les médias, des leaders politiques lancent des accusations infondées contre le nouveau parti victorieux, sans preuve ni hésitation, incitant potentiellement à la violence. Faut-il craindre pour la vie de Fouad Ahidar, le leader de ce groupe qui semble déranger au point de susciter de telles réactions? La Team Fouad Ahidar a appellé plusieurs fois le monde politique belge à retrouver sa raison. Les accusations portées contre la liste gagnante aux dernières élections sont un déni de démocratie et une attaque contre ses électeurs, profondément choqués par cette campagne de dénigrement visant une Team qui a obtenu une adhésion historique à Bruxelles, devenant ainsi le deuxième parti flamand de la région.
La Diffamation et les Mensonges
Certaines accusations prétendent que la seule préoccupation de la Team Fouad Ahidar serait d’imposer la loi islamique en Belgique, dans son sens le plus insultant. Des responsables politiques alimentent ces mensonges, appelant à un cordon sanitaire et affirmant à tort que leur programme est guidé par la sharia, dans sa signification de violence gratuite. Ces affirmations sont scandaleuses, honteuses et diffamatoires. Le programme du parti, disponible en ligne, comprend 1 20 points visant à répondre aux préoccupations des Bruxellois, telles que le pouvoir d’achat, le logement, la sécurité et la propreté. Les opposants politiques le savent mieux que quiconque.
La Crainte de Violences Futures
La Team Fouad Ahidar doit-elle porter plainte pour incitation à l’assassinat? Ses membres doivent-ils craindre de subir une tentative d’attentat, comme celui contre Trump qualifié d’agression par les médias? Chistoire de notre pays est jalonnée de violences, souvent d’extrême droite, et les appels au boycott du parti dans la formation du gouvernement pourraient être interprétés par des individus moins nuancés, mettant en péril la stabilité démocratique de la Belgique. Les failles dans le système de comptage lors des élections du 9 juin, telles que les invitations à voter non reçues, les votes illégitimes de mineurs et les pannes informatiques suspectes très peu relayées, soulèvent des questions sur l’intégrité du processus électoral. La Belgique doit se prémunir contre les agissements frauduleux ou violents, qui n’ont aucune place dans une société démocratique multiculturelle.
Engagement pour la Liberté et la Transparence
La Team Fouad Ahidar milite également pour la liberté des cultes, telle que garantie par la Constitution belge. Leur programme, public et transparent, aborde des sujets variés comme le pouvoir d’achat, le logement, la sécurité et la lutte contre les discriminations. Cependant, des commentaires désobligeants avec des allusions à un islamisme radical persistent. Après 20 ans d’engagement politique, on doit constater avec amertume que son travail est balayé d’un revers de main insultant. Exclu en juin 2022 par les socialistes flamands pour ne pas avoir suivi les consignes de vote flamandes, peut on craindre des pressions similaires de Namur ou d’Anvers sur les députés bruxellois, mettant en péril les intérêts de Bruxelles ?
Prévenir la Violence et Promouvoir l’Unité
Les commentaires extrémistes et obscurantistes peuvent-ils radicaliser des individus solitaires et les pousser à des actes violents? Oui, certainement. Des militants du parti espère que les services de sécurité belges veilleront à prévenir la violence contre les politiciens victorieux avant l’été, peut-être encore lors des prochains scrutins en octobre. Les conséquences des propos extrémistes sont dramatiques pour les membres de la Team, qui reçoivent des menaces et des appels anonymes. Les médias et les politiciens doivent prendre conscience des dégâts qu’ils occasionnent en ternissant la réputation d’un homme politique respectable.
Vision pour une Société Inclusive
rengagement de Fouad Ahidar a toujours été centré sur le vivre-ensemble, le respect mutuel et la liberté de chacun. Son programme propose des mesures concrètes pour renforcer la cohésion sociale, promouvoir l’égalité des chances et améliorer la qualité de vie de tous les citoyens de Bruxelles. Ses électeurs ont exprimé leur adhésion à ces valeurs. Conclusion : Un Appel à la Raison et au Respect Fouad Ahidar déclarait récemment : “Je le dis et le répète haut et fort : nous continuerons à oeuvrer pour le bien-être de tous les Bruxellois, que ce soit au sein du gouvernement ou depuis les bancs de l’opposition.” Cette détermination reflète celle de ses électeurs. Les partis aux propos obscurantistes devront se soumettre à la volonté de l’électeur, à la place de la violence que leurs paroles peuvent engendrer ou après que cette violence se soit révélée inutile. L’électeur a toujours le dernier mot.