Édité par notre Bénévole Lhoucine BENLAIL Directeur Officiel Diplomaticnews.net
Avec les différentes élections cette année, durant lesquelles certains pouvoirs sont forcément redistribués, on peut remarquer des influences étrangères sur la poliltique, tant dans des milieux plutôt secrets, mais aussi en plein jour via la grande presse.
Ainsi, quelques jours avant les élections du 9 juin dernier, trois associations se disant juives ou contre l’antisémitisme, ont attaqué une personnalité du PS bruxellois ainsi qu’un ancien socialiste flamand bruxellois qui a créé son propre parti. Face à la critique maintenant de plus en plus populaire contre les agissements militaires très violents contre des civils au Moyen-Orient, les associations ont tâché de provoquer un nouveau scandale antisémite contre ces deux personnalités populaires à Bruxelles en organisant une conférence de presse àen grande pompe.
Du côté flamand, depuis quelques semaines, c’est un journaliste connu pour son style provocateur et ses opinions tranchées qui est victime de son franc parler sur les victimes civiles en Palestine. Personnage controversé, il n’hésite pas à aborder des sujets sensibles avec une franchise qui peut déplaire à certains. Son ironie mordante et son sens aigu de la satire lui ont souvent permis de critiquer à la fois les institutions et les figures publiques. La démocratie et la liberté d’expression a un prix pour ceux qui ont des choses à cacher.
Sans vouloir juger de ce qu’est un vrai ou bon juif, seul Dieu jugera, l’abus de cette identité religieuse par un gouvernement colonialiste fait la une depuis près d’un an. C’est sans parler des dernières 75 ans, avec de nombreux événements depuis, des massacres de civils honteux et des condamnations internationales multiples de cet état se nommant juif, mais très certainement contraire aux valeurs de cette religion. D’ailleurs, en Europe et aux États-Unis, comme même au Moyen-Orient, de très nombreux juifs pratiquant manifestent contre l’abus de l’utilisation de l’identité juive par cet état s’étant établi au beau milieu de la Terre Sainte en Palestine.
Mais pour rester en Belgique, que font ces trois associations apparemment bien belges ? Depuis peu, elles attaquent régulièrement et ouvertement des politiciens ou journalistes belges, sans parler des différentes infiltrations dans des organismes ou des médias influents qu’on découvre dès qu’on analyse les événements avec cette connaissance des réseaux en tête. Le Comité de Coordination des Organisations Juives de Belgique, le Centre Communautaire Laïc Juif et le Forum des Joodse Organisaties se sont maintenant ouvertement mis à la lumière. D’après les noms de ces associations, il y aurait derrière ces associations peut-être encore de multiples autres groupes, la liste de leurs membres devraient pouvoir en dire plus.
Mais si on s’en tient juste aux administrateurs et responsables de gestion journalière tels que documentés à la Banques Carrefour des Entreprises de Belgique, on trouve officiellement déjà 26 personnes. Et grâce à internet, des journalistes et autres informaticiens experts ont fait des recherches. Les activités et les intérêts économiques, privés ou politiques de ces personnes en Belgique et en dehors sont difficiles à cacher. Alors, pour suivre tous ces individus, ce n’est pas toujours facile, car ils changent souvent de nom et de prénom. Mais l’intelligence artificielle aidant, ils sont faciles à découvrir en 2024.
Les associations sont actives au Congrès Juif Européen à Bruxelles et au Congrès Juif Mondial à New York, ce qui témoigne déjà d’organisations internationales représentant les communautés juives dans plus de 100 pays et défendant leurs intérêts auprès des gouvernements et des organisations internationales. Si ces organisations se disant juives le sont au même titre que l’état qui se prétend tel, on a le droit de s’en méfier ou au moins de s’intéresser à leurs activités. Une association fait même de nombreuses actions en faveur d’Israël, des communautés juives en Russie (URSS) et des peuples Vietnamiens, Bosniaques, etc. Une des associations a même récemment appeler les universités belges pour qu’elles ne rompent pas leurs liens avec les universités et instituts scientifiques israéliens. Il faut savoir que de nombreux budgets pour ces échanges universitaires sont financés par l’état belge. Alors, pour qui travaillent ces associations ?
Déjà, alors qu’elles attaquaient des candidats aux élections bruxelloises, une administratrice était également candidate pour DéFI, un parti politique belge, numéro 6 sur la liste pour la Chambre des Représentants lors des élections du 9 juin dernier (1.141 vote de préférence) pour la circonscription de Bruxelles-Capitale. Elle a aussi été Directrice Générale de Kingfisher PLC, une entreprise multinationale britannique de vente au détail, et de Castorama France. En plus de son rôle chez Sodexo, elle est également administratrice chez BIC, Eczacibasi (un grand groupe industriel turc), et British American Tobacco (société est cotée à la Bourse de Londres avec siège social à Londres, au Royaume-Uni) opérant dans plus de 180 pays. Elle est membre du Conseil de Surveillance du groupe Inter Ikea, ce qui démontre son implication étendue dans les affaires internationales. Pour les intérêts de qui cette dame attaque les politiciens et journalistes belges ? On peut se poser la question de qui elle veut promouvoir.
Une autre figure notable au sein du CCOJB joue un rôle actif au cœur de la coordination avec d’autres institutions juives européennes et internationales, qui collaborent étroitement sur des questions d’intérêt commun. Quels intérêts ? Défend-elle des intérêts compatibles avec les citoyens de Belgique ?
Un autre est influent dans le monde du théâtre. Acteur à Paris, Berlin, Vienne et aux États-Unis, il a aussi un studio en Pologne en lien avec les USA.
Un autre encore est ancien bâtonnier des avocats français. Quels intérêts défend-il ? Ceux de ses clients sans doute, voire les clients d’autres avocats de l’ordre, on pourrait le deviner.
Plus loin dans la liste, on remarque un défenseur des intérêts d’Israël, aussi membre du parti communiste, puis du PTB à la fin du siècle passé. A-t-il des liens avec le parti communiste chinois, on pourrait se le demander.
Un autre de ces personnages est à la tête d’une entreprise spécialisée dans les solutions de paiement. Il est aussi professeur à une université bruxelloise où il dirige des programmes spécifiques aux entreprises. Il est également responsables de différents projets dans des entreprises et fédérations privées. A l’étranger, il est impliqué dans un programme de développement entrepreneurial dans les services financiers au niveau global.
Une autre encore dirige son propre cabinet de consultants, elle est active à Bruxelles, à Paris et à Lyon.
Un autre est directeur de l’information et des programmes d’une chaîne d’information bruxelloise. C’est aussi lui qui, quelques jours avant les élections du 9 juin, publiait la plainte des trois associations à la télévision.
Plus loin sur la liste on a un homme d’affaires basé à Brooklyn, New York, principalement impliqué dans la vidéographie. Il est surtout connu pour sa participation à une fraude fiscale de grande envergure avec son frère, ancien directeur d’entreprise. Entre 2012 et 2018, ils ont utilisé les comptes bancaires de son entreprise pour dissimuler plus de 700.000 dollars de revenus, ce qui a permis au premier d’éviter de payer environ 150.000 dollars en impôts. En 2022, il a été condamné à de la prison et à une amende, en plus de devoir rembourser plus de 160.000 dollars en restitution. (selon la source sur https://www.justice.gov)
La liste ne s’arrête pas là, puisque d’autres administrateurs de ces trois associations sont encore actifs ou financés par des organismes politiques en Europe et en dehors. Il y même un homme qui agit en tant que Consul Honoraire de la Hongrie à Anvers, défendant les intérêts d’un pays étranger sur notre territoire. D’après les informations receuillies sur la toile, il se concentrerait sur des engagements économiques, commerciaux et culturels hongrois.
Parmi les responsables de ces trois associations, un éminent journaliste néerlandais a également sa place. Il est entre autres chroniqueur pro-Israël.
Pour rappel, Ces énergumènes très dangereux sont les mêmes sionistes qui ont attaqué PARTI ISLAM et le Parti (MPE) Mouvement Pour L’Éducation et c’est le même service qui a menacé
BENLAIL Lhoucine et sa Famille en Wallonie, ainsi que les pressions exercées sur la Famille du président du MPE, ainsi que sur le Leader, sur le Président et son Vice président du Parti ISLAM de Belgique.
Alors, sans vouloir viser directement la France, les États-Unis, Israël, le Royaume-Uni ou la Hongrie de vouloir s’ingérer dans notre pays ni de vouloir influencer la presse et la politique en Belgique, ni même accuser tous ces individus de défendre des intérêts économiques et financiers privés de lobbying camouflés derrière des bonnes œuvres, il est frappant de voir que ce réseau international prend aujourd’hui des actions en utilisant notre système pénal et judiciaire pour s’attaquer à la presse libre et à la politique en Belgique.
Le gouvernement belge est très sensible, depuis quelques années, et a fait modifier plusieurs articles de loi pour veiller à défendre l’indépendance de la Belgique et donc la stabilité de la démocratie et du Royaume en Belgique. L’état ou sa Sureté devrait sans doute s’y intéresser et analyser, voire démanteler ce réseau néfaste pour le pays.