Édité par notre Bénévole, chef de la rédaction ALY BAKKALI
Dans un contexte géopolitique complexe et volatile, les communautés chiites et alaouites sont devenues les cibles privilégiées de groupes extrémistes soutenus par des intérêts étrangers. Ces attaques ne visent pas seulement à semer la terreur, mais aussi à affaiblir une force potentielle qui pourrait menacer les projets expansionnistes de certains États, notamment Israël et ses alliés occidentaux.
Une stratégie de division et de destruction
Les groupes terroristes comme Jabhat al-Nosra, Al-Qaïda et Daesh ne sont pas seulement des acteurs locaux. Ils sont souvent instrumentalisés par des puissances extérieures pour servir des agendas géopolitiques plus larges. Leur objectif principal est d’exterminer les chiites et les alaouites, perçus comme une menace à l’hégémonie régionale. Pourquoi ? Parce que ces communautés, dispersées dans plusieurs pays comme le Liban, la Syrie, la Turquie, l’Irak et même en Europe, représentent une force unie qui pourrait contrecarrer les plans de création d’un “Grand Israël” ou d’autres projets impérialistes.
Les sionistes et leurs alliés occidentaux craignent que l’union des chiites et des alaouites ne devienne une puissance incontournable, capable de résister à leurs ambitions. C’est pourquoi ils exploitent la haine des sunnites extrémistes pour diviser et détruire ces communautés. Cette stratégie de division est ancienne, mais elle prend une nouvelle dimension avec l’implication de combattants étrangers dans des conflits comme celui en Ukraine, où des éléments liés à Daesh et Al-Nosra sont désormais actifs.
L’Europe, prochaine cible ?
L’Europe n’est pas épargnée par cette montée de l’extrémisme. Les musulmans, en particulier les chiites, pourraient bientôt faire face à une situation de plus en plus difficile. Les réseaux extrémistes, soutenus en sous-main par certains gouvernements, se renforcent et étendent leur influence. Le fils de Shishani, un ancien chef de Daesh, opère désormais en Ukraine avec une armée de combattants de diverses nationalités. Cette présence démontre que l’extrémisme n’est pas confiné au Moyen-Orient, mais qu’il s’exporte, avec des conséquences potentielles pour toute l’Europe.
Un appel à l’unité
Face à cette menace, il est crucial que les chiites et les alaouites, ainsi que tous ceux qui se sentent concernés par cette injustice, se rassemblent et fassent entendre leur voix. Les persécutions dont sont victimes ces communautés ne sont pas seulement une affaire locale, mais un problème global qui concerne tous ceux qui croient en la justice et en la dignité humaine.
Il est de notre devoir, en tant que chiites, de soutenir nos frères et sœurs persécutés, de leur apporter notre solidarité et de faire connaître leur lutte au monde entier. Nous devons nous unir pour résister à cette vague de haine et d’extrémisme qui menace non seulement nos communautés, mais aussi la stabilité de toute la région et au-delà.
Conclusion
L’histoire nous montre que la division est le plus grand outil des oppresseurs. Aujourd’hui plus que jamais, nous devons rester unis et solidaires. Les chiites et les alaouites, ainsi que tous les musulmans et les personnes de bonne volonté, doivent se lever ensemble pour dénoncer ces injustices et construire un avenir où la coexistence et le respect mutuel seront possibles.
Rejoignez-nous dans cette lutte pour la justice et la paix. Faisons entendre notre voix, car c’est ensemble que nous pourrons vaincre l’extrémisme et construire un monde meilleur.
