31 July 2025

Édité par notre Bénévole Lhoucine BENLAIL Directeur Officiel Diplomaticnews.net

Dans un pays où la justice est censée être une devise et l’égalité un principe, le ministre de la Justice lui-même se transforme en magicien, faisant disparaître des millions sous les yeux d’un peuple affamé ! Abdellatif Ouahabi, l’homme de la loi qui sait pertinemment que mentir dans les déclarations fiscales est un crime puni par la loi, mais qui – comme d’habitude – croit que les lois sont faites pour les pauvres, tandis que les “princes de l’État” ont le privilège de voler en toute impunité ! Une histoire qui soulève le cœur : un prêt de 11 millions de dirhams remboursé en seulement quatre ans, alors qu’un citoyen ordinaire aurait besoin de 18 ans de sueur et d’humiliation pour rembourser une somme similaire ! La question qui tue : quel miracle économique a permis à ce ministre de la Justice – avec son salaire “modeste” – d’empocher des millions comme si l’argent tombait du ciel ?! Et plus incroyable encore, après avoir joué à “l’achat de palais”, l’homme offre le bien immobilier à son épouse comme s’il distribuait des bonbons, mais dans sa déclaration fiscale, il en minimise la valeur à seulement un million de dirhams ! Quelle moquerie est-ce là ? Quel mépris pour l’intelligence des Marocains ? Ou bien Ouahabi pense-t-il que le peuple est trop stupide pour comprendre qu’un million pour un bien qui en vaut dix fois plus ne peut être qu’un mensonge fiscal éhonté ?

Le jeu est clair : une évasion fiscale flagrante, une falsification des déclarations, un mépris total pour la fonction qui est censée protéger la loi, pas la manipuler ! Mais le plus révoltant, c’est le silence assourdissant de l’État. Un silence qui en dit long : si le ministre de la Justice lui-même vole en toute impunité, quel message est envoyé aux autres grands fraudeurs ? “Pillez… la corruption est autorisée pour vous !” ?

Ceci n’est qu’une feuille parmi un dossier accablant qui prouve que certains “princes de l’État” vivent au-dessus des lois, quand ils ne les réécrivent pas à leur avantage. Les organismes de contrôle oseront-ils ouvrir les comptes cachés ? Ou bien la “justice” restera-t-elle l’apanage des pauvres, tandis que les voleurs de l’argent public riront en coulisses ? Le bien s’appelle “Saïda”, mais les Marocains ne seront pas heureux de voir leurs responsables piller leurs deniers avec une telle arrogance. La corruption n’est plus cachée… elle se pratique au grand jour, et certains s’en vantent ! Jusqu’à quand le silence sera-t-il la seule réponse aux crimes de ceux qui sont censés servir le peuple ?

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