
Édité par notre Bénévole Lhoucine BENLAIL Directeur Officiel Diplomaticnews.net
Alors que les citoyens marocains endurent une hausse vertigineuse des prix des produits de base et une dégradation des services publics, le ministre des Affaires étrangères Nasser Bourita semble vivre sur une autre planète.

Les documents officiels en notre possession révèlent **l’achat d’un bien immobilier de luxe** au sein du projet “Le Carrousel” à Rabat, d’une valeur de **4,449 millions de dirhams** (environ 450 000 dollars). Des rapports antérieurs avaient déjà exposé des dépenses d’environ **1,6 million de dollars entre 2022 et 2023**.
Où sont les contrôles ? Où est la redevabilité ?Le bien acquis par Bourita avec ses filles Gaïta Rym et Mariam Bourita n’est pas un simple appartement : il s’agit d’une **unité résidentielle haut de gamme de 215 m²**, comprenant une cour, un jardin et deux places de parking. Mais le plus troublant réside dans **le mode de paiement suspect** : 30% du montant via le contrat officiel, tandis que **898 000 dirhams ont été payés “hors du contrôle du notaire”** ! Une partie substantielle de la transaction a donc échappé aux yeux des autorités de contrôle.
Des questions brûlantes s’imposent : ❓ **D’où proviennent ces sommes colossales** pour un ministre dont le salaire est public ? ❓ **Pourquoi un paiement hors cadre légal** ? ❓ **Comment un responsable de ce niveau s’adonne-t-il à des pratiques aussi douteuses** ?
L’insulte ultime au peuple : **le contrat a été signé en mai 2024**, en pleine crise économique étouffante.Le scandale s’aggrave : Bourita a obtenu **la pleine jouissance du bien**, tandis que ses deux filles étudiantes en ont acquis la propriété. S’agit-il là des “valeurs” vantées par nos dirigeants ? Ou assistons-nous à l’émergence **d’une nouvelle caste dirigeante** qui perpétue privilèges et corruption ?**Assez du silence complice des instances de contrôle** ! Le peuple marocain, frappé par la pauvreté et le chômage, exige des réponses claires. Hier le ministre de la Justice Abdellatif Ouahbi, aujourd’hui Bourita…
Comment des ministres accumulent-ils de telles fortunes ? Pourquoi l’argent public est-il traité comme une propriété privée ? Cette mascarade révèle **l’hypocrisie d’un système** où le citoyen est traqué pour son pain quotidien, pendant que l’élite politique nage dans les privilèges !











