18 August 2025

Édité par notre Bénévole Lhoucine BENLAIL Directeur Officiel Diplomaticnews.net


Par Benlaail Lhoucine

I. LA CAPITALE SOUS SIÈGE : UN BILAN EXPLOSIF

Bruxelles n’est plus une ville : c’est un champ de bataille.
Des réseaux criminels hyper-structurés ont transformé des quartiers entiers en zones de non-droit, où :

  • Le trafic de drogue industrialisé finance des arsenaux de guerre,
  • Les règlements de comptes sanguinaires terrorisent les populations,
  • Les attaques préméditées contre la police (jets de pierres, cocktails Molotov, tirs) deviennent une tactique quotidienne.
    La Belgique assiste, impuissante, à la naissance d’un narco-État dans son cœur institutionnel.

II. MAI 2025 : LA PREUVE PAR L’HORREUR

Les 4 et 5 mai ont sonné le glas de l’illusion sécuritaire.
En marge de la finale de la Coupe de Belgique :

  1. Violences racialisées à Molenbeek : des citoyens ciblés pour leur origine,
  2. Attaques coordonnées contre les transports (gares, métros, bus),
  3. Propagande extrémiste : slogans appelant à la haine et au séparatisme,
  4. Complicités actives : des commerces forcés de fermer pour faciliter les émeutes.
    Ces événements ne sont pas des “incidents” : ce sont des opérations militaires de guérilla urbaine.

III. LIENS TOXIQUES : LA BOMBE GÉOPOLITIQUE

Derrière le chaos, une stratégie froide et transnationale.

  • Financements étrangers : traçage de flux suspects liés à des puissances hostiles,
  • Ingérence politique : manipulation de la jeunesse marginalisée pour saper la souveraineté belge,
  • Cibles prioritaires : la Belgique comme porte d’entrée vers l’Europe, et le Maroc comme ennemi désigné par des campagnes de désinformation.
    L’objectif ? Démembrer l’État par le crime pour installer des contre-pouvoirs mafieux.

IV. L’INACTION : TRAHISON HISTORIQUE

Face à cette guerre asymétrique, les carences tuent :

  • Déni des autorités : minimisation récurrente de la menace,
  • Moyens policiers dérisoires : effectifs sous-équipés face à des milices armées,
  • Coopération européenne paralysée par des lourdeurs bureaucratiques.
    Conséquence : des policiers en état de siège permanent, et des citoyens abandonnés à la loi du plus fort.

V. L’ULTIMATUM : 5 MESURES DE SALUT PUBLIC

Il ne reste que 12 mois pour éviter l’irréversible.

  1. Opérations “Commando” : déploiement de l’armée dans les zones gangrenées,
  2. Gel des actifs criminels : saisie immédiate des économies parallèles,
  3. Unité judiciaire UE-Maroc : traque commune des parrains et financiers,
  4. Protection des témoins : bouclier légal pour briser l’omerta,
  5. Désintoxication idéologique : cellule anti-propagande dans les écoles et prisons.
    Le coût de l’inaction ? La disparition de Bruxelles comme capitale européenne.

ÉPILOGUE : L’HEURE DU SURSAUT

ÉPILOGUE : L’HEURE DU SURSAUT

Ce n’est plus une crise sécuritaire : c’est un putsch criminel.
Si les trafics contrôlent le territoire, les finances et les esprits, la Belgique ne sera bientôt plus qu’un État fantôme sous tutelle mafieuse. La résistance commence par nommer l’ennemi : des cartels hybrides (crime + extrémisme) soutenus par des puissances ennemies.
L’histoire jugera ceux qui auront laissé faire.

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