
Édité par notre bénévole Lhoucine BENLAIL
Le Maroc est sous le choc, ébranlé par une fuite cataclysmique de documents ultra-confidentiels qui expose les entrailles du pouvoir.
Cartes d’identité nationales, actes notariés, données personnelles de figures clés comme le ministre des Affaires étrangères Nasser Bourita, sa femme Majda, le ministre de la Justice Abdellatif Ouahbi, et d’autres piliers du Royaume circulent désormais entre des mains hostiles. Adresses, secrets, vies privées : tout est à nu, livré à des opposants basés à l’étranger, notamment en Algérie, et à des réseaux mafieux internationaux. Mais qui orchestre cette opération ? Banal piratage ou une machination savamment planifiée?
À qui profite ce crime, alors que le Maroc traverse une tempête sans précédent ? La santé vacillante du roi Mohammed VI, murmurée dans les cercles les plus fermés, jette une ombre inquiétante sur cette crise. Le souverain, garant de l’unité nationale, serait-il affaibli au point de laisser le Royaume vulnérable ? À l’approche des élections législatives, cruciales pour l’avenir politique du pays, le timing de cette fuite est trop parfait pour être fortuit.
En parallèle, les grands journaux français, Le Monde et Le Figaro, multiplient les articles ciblés sur la santé du roi, la question de sa succession, et osent même s’attaquer au mythe fondateur du Maroc moderne en déconstruisant la figure de Mohammed V, le « Père de la Nation ». Cette offensive médiatique, qui ébranle les symboles sacrés du Royaume, est-elle une coïncidence ?
En politique, il n’y a pas de hasard.
Cette synchronisation semble trop précise, trop calculée. Qui tire les ficelles de cette campagne visant à fragiliser l’identité même du Maroc ? L’activiste exilé Hicham Guirando, figure centrale de ce scandale, fanfaronne depuis l’étranger. Il revendique la possession de documents explosifs – photos, vidéos compromettantes – et va jusqu’à prétendre avoir infiltré le Palais royal. Comment un simple opposant peut-il accéder à de telles informations sans complices au cœur de l’État ? Ces données, qui circulent entre des réseaux hostiles et des mafias internationales, trahissent-elles une faille dans les systèmes de sécurité marocains, ou bien une trahison orchestrée de l’intérieur ?
La question brûle : l’État profond est-il en train de se retourner contre lui-même ?
Plus glaçant encore, des révélations au sein des services de sécurité dévoilent un tableau sinistre. Des opérations internes, camouflées en missions fictives, auraient conduit à des assassinats déguisés en accidents de la route. Des agents rescapés, marqués par des blessures graves, témoignent de ces manœuvres sordides, tandis que des responsables impliqués se sont volatilisés à l’étranger.
Qui commandite ces actes criminels ?
Une faction obscure cherche-t-elle à éliminer des voix gênantes, profitant de la fragilité du roi et de l’imminence des élections pour redessiner les contours du pouvoir ? Le Maroc est à un carrefour critique. Cette crise, bien loin d’être une simple faille informatique, menace la sécurité nationale, la stabilité politique et les fondations symboliques du Royaume. Pourquoi *Le Monde* et en particuliè *Le Figaro* .qui s’acharnent-ils à déconstruire l’héritage de Mohammed V au moment précis où le pays est vulnérable ? Qui a orchestré cette fuite massive, et dans quel but ? Qui protège les traîtres tapis dans l’ombre ? Et surtout, quelle est la véritable ambition de ce complot, alors que le Maroc fait face à des incertitudes autour de la santé de son souverain, à une élection décisive et à une attaque médiatique sans précédent ?
Une enquête d’urgence s’impose pour démasquer les coupables et sauver le Royaume d’un effondrement imminent.
Car une question terrifiante hante les esprits : et si cette fuite, couplée à cette offensive médiatique, n’était que l’avant-goût d’un plan machiavélique visant à faire tomber le Maroc ?