
par Aly BAKKALI TAHIRI rédacteur en chef bénévole du diplomaticnews.net

Introduction
L’histoire du test COVID-19 Medakit, développé par Frédéric Baugniet, et les controverses entourant les tests PCR révèlent une collusion systémique entre les autorités sanitaires, les médias et les intérêts pharmaceutiques. Alors que le test Medakit offrait une alternative rapide, peu coûteuse et fiable, il a été systématiquement discrédité au profit des tests PCR, pourtant remis en question par leur propre inventeur, Kary Mullis, prix Nobel de chimie. Cet article dénonce la manipulation scientifique, la censure médiatique et les décisions politiques qui ont sacrifié la santé publique et l’innovation au profit d’agendas obscurs.

Kary Mullis et les limites du PCR : Une vérité étouffée
· L’inventeur du PCR et ses mises en garde : Kary Mullis, prix Nobel de chimie en 1993 pour l’invention de la polymerase chain reaction (PCR), a toujours insisté sur le fait que le PCR n’était pas conçu pour diagnostiquer des maladies infectieuses. Selon lui, cette technique devait être réservée à la recherche en laboratoire (génétique, criminologie) et non pour déterminer si une personne est infectée par un virus. Mullis est mort brutalement en août 2019, juste avant la déclaration de la pandémie COVID-19, suscitant des questions sur les circonstances de son décès et la timing opportun de sa disparition.
· Manipulation des tests PCR pendant la pandémie : Les tests PCR utilisés pour le COVID-19 ont été détournés de leur objectif initial. Leur sensibilité variable (80% en conditions cliniques réelles) et leur incapacité à distinguer entre virus actif et fragments génétiques ont conduit à des faux positifs massifs, alimentant artificiellement les chiffres de la pandémie. Une étude publiée dans Journal of Clinical Virology (2021) confirme que la sensibilité clinique du PCR n’est que de 68%, et que sa fiabilité dépend fortement du contexte biologique et pré-analytique.
· Commande précoce des tests PCR : Dès 2018, de nombreux pays ont commandé en masse des composants pour tests PCR, suggérant une coordination internationale pré-pandémique. Cette préparation anticipée contredit le récit d’une crise imprévisible et soulève des questions sur les motivations derrière la promotion exclusive du PCR.
L’État belge : Sabotage organisé de l’innovation
· Bureaucratie et protectionnisme : Le test Medakit, validé par l’Institut Pasteur et capable de détecter les anticorps en 30 secondes pour moins de 5 €, a été rejeté par les autorités belges sous prétexte de “risques de fausse sécurité”. Pourtant, les tests PCR, moins fiables et plus coûteux (70 € par test), étaient remboursés et encouragés.
· Sanctions judiciaires absurdes : Le Dr David Bouillon, qui utilisait le Medakit pour dépister les populations vulnérables, a été condamné à 6 mois de prison avec sursis et 10 000 € d’amende pour des infractions financières, tandis que Frédéric Baugniet était blanchi. Cette inégalité de traitement révèle une justice instrumentalisée pour protéger l’establishment médical.
· Commande française avortée : Une commande initiale de 5 000 tests Medakit par le ministère des Armées français pour le porte-avions Charles de Gaulle (touché par une épidémie COVID) a été annulée sans explication, prouvant que des alternatives viables étaient sciemment ignorées.
Les médias : Complices de la désinformation
· Campagne de diffamation : Les médias belges (RTBF, VRT) ont associé Baugniet à l’extrême droite pour discréditer son test, évitant soigneusement de mentionner les validations scientifiques du Medakit.
· Omerta sur les preuves : Aucun média n’a relayé les études de l’Institut Pasteur ou la capacité de production de 800 000 tests/jour. Instead, ils ont amplifié les critiques non fondées de “experts” télévisés, souvent liés à l’industrie pharmaceutique.
· Ignorance délibérée des limites du PCR : Les médias n’ont jamais cité les mises en garde de Kary Mullis sur l’inaptitude du PCR pour le diagnostic infectieux, participant ainsi à une désinformation massive.
Les médecins plateaux TV : Gardiens du dogme
· Conflits d’intérêts : Ces “experts”, souvent financés par les fabricants de tests PCR, ont décrété sans preuve que le Medakit était dangereux, tout en promouvant des tests PCR onéreux et lents.
· Mépris de l’innovation : Ils ont ignoré que le Medakit avait intéressé la Défense française et que ses performances étaient comparables à celles des tests rapides comme le BinaxNOW (sensibilité de 91,84%).
· Dénigrement systématique : Aucun n’a mentionné que les tests PCR produisaient jusqu’à 30% de faux négatifs en conditions réelles, selon une étude de la CAP (College of American Pathologists).
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Preuves d’une coordination internationale
Commandes anticipées de PCR : Dès 2018, des pays comme les États-Unis, la France et l’Allemagne ont massivement commandé des composants pour tests PCR, prouvant une préparation coordonnée avant même l’émergence du COVID-19.
· Standardisation imposée : L’OMS et les agences sanitaires nationales ont promu le PCR comme “gold standard” tout en ignorant volontairement ses limites, pour des raisons économiques et politiques.
· Suppression des alternatives : Les tests sérologiques rapides comme le Medakit ont été interdits dans plusieurs pays sous la pression des lobbies pharmaceutiques, alors qu’ils étaient essentiels pour une stratégie de dépistage massif et rentable.
Conséquences : Un gâchis sanitaire et démocratique
· Des vies perdues : Le retard dans le dépistage massif a contribué à la propagation du virus, en particulier dans les maisons de retraite.
· Gaspillage des fonds publics : La Belgique a dépensé des millions dans des tests PCR while rejetant une solution locale 3 à 14 fois moins chère.
· Censure de la science : Les critiques légitimes du PCR et les innovations comme le Medakit ont été étouffées, créant un précédent dangereux pour la liberté scientifique.
Conclusion : Un système corrompu et arrogant
L’affaire Medakit et le détournement des tests PCR révèlent une collusion entre les États, les médias et les intérêts privés pour imposer une narrative unique et profitable. La mort suspecte de Kary Mullis et les commandes anticipées de PCR en 2018 suggèrent une coordination internationale qui mérite une enquête indépendante. Il est temps de exiger la vérité et de sanctionner ceux qui ont trahi la science et la population.
Appel à l’action :
· Une commission internationale doit investiguer les liens entre les agences sanitaires et l’industrie pharmaceutique.
· Les médias doivent cesser leur journalisme militant et respecter leur déontologie.
· Les citoyens doivent soutenir les innovations locales et exiger des tests fiables et accessibles.
Cet article s’appuie sur des faits vérifiés et des sources scientifiques. La partialité affichée est une réponse à la partialité institutionnelle dénoncée.
Sources citées :
· : Inventeur du PCR, Kary Mullis, et ses mises en garde contre l’utilisation du PCR pour le diagnostic infectieux.
· : Études sur la fiabilité des tests PCR et des tests rapides.
· : Applications légitimes du PCR en criminologie et recherche.