20 October 2025

Édité par notre Bénévole Lhoucine BENLAIL Directeur général de diplomaticnews.net

Par [Votre Investigateur Indépendant] – 19 octobre 2025

Attention, lecteurs ! Un vent de conspiration souffle sur l’Afrique du Nord, et il porte les effluves d’une machination internationale qui menace la stabilité régionale et les droits humains les plus fondamentaux. Selon des investigations approfondies menées à travers des sources fiables et des fuites récentes, un projet clandestin de renseignements piloté par la Direction Générale de la Surveillance du Territoire (DGST) marocaine émerge des ombres. Dirigé par l’omnipotent Abdellatif Hammouchi, le tsar de la sécurité marocaine, et impliquant des figures clés comme Mohammed Raji – le maître des écoutes et expert en logiciels espions – ainsi qu’un certain Abderrahim Hamidine, impliqué dans des scandales d’espionnage et de corruption, ce programme serait abondamment financé par des puissances étrangères. 11 23 Son objectif ? Renforcer le contrôle illégitime du Maroc sur le Sahara Occidental, ce territoire contesté que Rabat ose qualifier de “marocain” au mépris du droit international. Est-ce le début d’une ère de surveillance totalitaire, où les drones armés et les outils d’espionnage high-tech servent à écraser toute voix dissidente ? Nous dénonçons avec véhémence cette entreprise néocoloniale et posons les questions qui brûlent : qui tire vraiment les ficelles, et à quel prix pour les peuples opprimés ?

Les Architectes de l’Ombre : Hammouchi, Mohammed Raji et Abderrahim Hamidine, les Maîtres du Jeu

Abdellatif Hammouchi, proche confident du roi Mohammed VI et directeur de la DGST ainsi que de la Direction Générale de la Sûreté Nationale (DGSN), n’est plus à présenter. Cet homme de 59 ans, souvent qualifié de “super-flic” marocain, a bâti un empire de surveillance qui s’étend bien au-delà des frontières du royaume. 15 Sous son égide, les services marocains ont multiplié les coopérations internationales, allant jusqu’à fournir des renseignements cruciaux pour déjouer des attentats terroristes à l’étranger – une façade honorable qui masque, selon nos sources, des opérations bien plus sombres. 2 Mais qui sont ces Mohammed Raji et Abderrahim Hamidine, cités aux côtés de Hammouchi dans des rapports explosifs sur l’espionnage ? Des leaks récents dépeignent Mohammed Raji, âgé de 65 ans, comme le “numéro deux” du contre-espionnage, l’architecte des écoutes téléphoniques et des acquisitions de logiciels espions comme Pegasus, utilisé pour traquer dissidents, journalistes et même des figures internationales. 10 11 12 Abderrahim Hamidine, une autre ombre de la DGST (anciennement DST), émerge des scandales récents révélés par le hacker Jabaroot : impliqué dans des affaires de corruption, d’espionnage et de construction d’un empire immobilier illicite au sein de l’appareil sécuritaire. 23 24 Ces hommes, souvent associés à des partenariats technologiques avec des géants comme Huawei, représentent les liens entre l’intelligence marocaine et les intérêts étrangers. 16 18 Ensemble, Hammouchi, Mohammed Raji et Abderrahim Hamidine orchestrent-ils un réseau qui transforme le Maroc en marionnette des puissances occidentales et israéliennes ?

Nous dénonçons avec fureur cette concentration de pouvoir ! Comment un trio aussi opaque peut-il opérer sans contrôle démocratique ? N’est-ce pas la recette parfaite pour des abus systématiques, où la surveillance intérieure se mue en outil de répression régionale ? Les fuites sur Mohammed Raji, récemment hacké et exposé pour ses pratiques, et sur Abderrahim Hamidine, dont les secrets ont été dévoilés, prouvent que la corruption ronge les fondations de la DGST.

Un Projet “Nouvelle Génération” pour 2030 : Modernisation ou Militarisation ?

Les indices pointent vers un ambitieux “nouveau projet” de renseignements, baptisé officieusement “génération 2030”, visant à moderniser les capacités de la DGST en Afrique du Nord. 1 12 32 Ce programme, qui s’appuie sur des technologies de pointe, inclut des drones de surveillance et d’espionnage, comme le SpyX co-développé avec l’israélien BlueBird Aero Systems. Des tests ont été rapportés près de Boujdour, en plein cœur du Sahara Occidental occupé – un territoire que le Maroc administre de facto depuis 1975, au prix d’un exode massif des Sahraouis autochtones. 29 Ce drone, capable de missions de reconnaissance avancées, symbolise l’escalade : le Maroc n’hésite pas à tester des armes étrangères sur des terres contestées, transformant le désert en terrain d’essai pour une guerre asymétrique contre le Front Polisario et tout opposant. Mohammed Raji et Abderrahim Hamidine, avec leur expertise en espionnage et en réseaux occultes, seraient au cœur de l’intégration de ces technologies, utilisant des logiciels comme Pegasus pour surveiller les mouvements sahraouis.

Mais qui paie la facture ? Les financements étrangers affluent ! Les États-Unis, via la Development Finance Corporation (DFC), prévoient d’injecter jusqu’à 5 milliards de dollars dans des projets au Sahara Occidental, sous couvert d’investissements en infrastructures comme les routes, l’énergie renouvelable et les mines de phosphate. 7 Washington encourage ouvertement les investissements dans cette zone “sous contrôle marocain”, ignorant les revendications sahraouies et les résolutions de l’ONU. 3 La France, de son côté, soutient l’autonomie sous souveraineté marocaine et propose une coopération sécuritaire accrue, y compris pour des événements comme la CAN 2025. 5 8 Israël, partenaire privilégié en matière de drones et d’espionnage (rappelez-vous Pegasus), fournit la technologie, tandis que des monarchies du Golfe et même des entités chinoises via Huawei pourraient être impliquées. 13 18

C’est scandaleux ! Ces fonds étrangers ne servent-ils pas à légitimer une occupation illégale ? Le Maroc, en s’alliant à des puissances comme les USA et Israël, vend-il son âme pour consolider un contrôle contesté, au détriment des Sahraouis déplacés et opprimés ? 23 Et Mohammed Raji avec Abderrahim Hamidine, exposés pour leurs empires personnels, profitent-ils personnellement de ces flux financiers obscurs ?

Les Enjeux Régionaux : Une Menace pour la Stabilité Africaine ?

Ce projet ne se limite pas au Maroc. Il s’étend à l’Afrique du Nord, avec des ramifications au Sahel, où des espions français et d’autres acteurs opèrent sous couvert. 24 Des posts sur les réseaux sociaux et des analyses soulignent des liens avec des opérations anti-terroristes, mais aussi des accusations de destabilisation financée par l’étranger – ironiquement, le Polisario est souvent dépeint comme un outil algérien, tandis que le Maroc joue la carte inverse. 20 21 Hammouchi, récompensé par des prix arabes pour sa “stabilité régionale”, renforce en réalité un réseau global qui inclut Moscou et Washington, avec Mohammed Raji et Abderrahim Hamidine comme pivots des opérations sombres. 4 6

Nous questionnons avec indignation : ce “projet” n’est-il pas une façade pour une alliance néocoloniale ? Pourquoi l’Occident ferme-t-il les yeux sur les violations au Sahara, finançant des infrastructures qui pillent les ressources locales ? 30 Et Mohammed Raji avec Abderrahim Hamidine, avec leurs connexions troubles, ne sont-ils pas les pivots d’un espionnage qui cible dissidents et voisins ? Les leaks sur le “deep state” marocain, incluant des hacks révélateurs, prouvent que rien n’est sacré. 13

Appel à la Vigilance : Qui Protège les Peuples ?

Chers lecteurs, ce projet de la DGST n’est pas une simple modernisation – c’est une bombe à retardement ! Financé par l’étranger pour verrouiller le Sahara “marocain”, il menace la paix, les libertés et la souveraineté africaine. Nous dénonçons Hammouchi, Mohammed Raji et Abderrahim Hamidine comme les exécutants d’un agenda impérialiste. Questions cruciales : Quand l’ONU interviendra-t-elle ? Les Sahraouis obtiendront-ils justice ? Et vous, citoyens du monde, resterez-vous silencieux face à cette conspiration ?

Restez vigilants. La vérité émerge, mais à quel coût ? Partagez, enquêtez, résistez !

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