Édité par notre Bénévole Lhoucine BENLAIL Directeur Officiel Diplomaticnews.net
“Un danger pour la démocratie”: des bureaux bruxellois perquisitionnés dans le cadre d’un scandale d’espionnage italien
La police a perquisitionné des bureaux à Bruxelles dans le cadre d’un vaste scandale d’espionnage italien, rapportent les médias locaux Rai News et Ansa. Dans cette affaire, des données privées de hauts responsables politiques et d’autres personnalités ont été volées à grande échelle. Elles auraient ensuite été vendues à des services de renseignement étrangers, notamment au Mossad, l’agence d’espionnage israélienne,
rapportent les médias locaux Rai News et Ansa. Dans cette affaire, des données privées de hauts responsables politiques et d’autres personnalités ont été volées à grande échelle. Elles auraient ensuite été vendues à des services de renseignement étrangers, notamment au Mossad, l’agence d’espionnage israélienne.
Le scandale a été révélé en Italie à la fin du mois d’octobre et concerne la société Equalize. Les principaux suspects dans cette affaire sont l’ancien officier de police italien Carmine Gallo, autrefois décrit comme un “super flic”, et Enrico Pazzali, président de la Fondazione Fiera Milano, qui organise des foires commerciales italiennes.
Selon les éléments de l’enquête, ils auraient infiltré les serveurs de ministères et de services de police, entre autres, par l’intermédiaire de leur société Equalize. Ils auraient ainsi eu accès à des données sensibles et financières concernant des hommes politiques de premier plan, des chefs d’entreprise et d’autres personnalités publiques telles que des musiciens et des athlètes de haut niveau.
Des affaires avec le Mossad
Ces données auraient ensuite été vendues à des agences de renseignement étrangères. Les suspects ont gagné des millions d’euros grâce à ces transactions. Le service de renseignement israélien, le Mossad, aurait notamment fait affaire avec la société Equalize. La Première ministre italienne Giorgia Meloni a qualifié cette affaire de “danger pour la démocratie”.
Nunzio Samuele Calamucci, consultant en informatique, a été interpellé par la police italienne dans le cadre de ce scandale d’espionnage. Des écoutes téléphoniques ont révélé qu’il avait discuté d’un accord d’un million d’euros avec deux agents du Mossad israélien en février 2023. Il s’agissait d’une cyber-opération contre la Russie et un bras droit non identifié de Vladimir Poutine. Au cours de cette opération, ils auraient par ailleurs découvert des données financières menant à des comptes bancaires du groupe Wagner. Ces informations devaient ensuite être transmises au Vatican.
Perquisitions à Bruxelles
Selon les médias italiens Ansa et Rai News, l’affaire du cyber-espionnage s’est exportée jusqu’à Bruxelles. Ce mardi 12 novembre, la police belge aurait perquisitionné les bureaux d’Antonio Rossi, qui travaille pour une société d’audit dans notre pays. L’entreprise en question n’est pas liée à l’enquête pour l’instant, mais M. Rossi est soupçonné d’avoir travaillé pour le compte du groupe dirigé par l’ancien policier Carmine Gallo afin de créer une “société clone” d’Equalize à Londres.Selon Politico, la semaine dernière, une note interne a été diffusée à l’ensemble du personnel de l’UE à Bruxelles, rappelant que la capitale est “l’un des plus grands centres d’espionnage au monde”.
Monsieur BENLAIL LHOUCINE a déjà parlé dans beaucoup d’articles que Bruxelles et la plus grande caserne d’espionnage. La plus grande majorité d’espions sont des élus étrangers et des parlementaires. Ils ont infiltré certains bourgmestres et ils ont infiltré l’Union Européenne à Bruxelles et ils ont même infiltré des grands services très sensibles.
La plus grande majorité des associations étrangères à Bruxelles sont des espions, tout comme ils ont infiltré l’Éxécutif des Musulmans, de plus, la plus grande majorité des imams marocains sont des informateurs des services secrets marocains.