Édité par notre Bénévole Lhoucine BENLAIL Directeur Officiel Diplomaticnews.net
on attention est fortement attirée par les discussions, les interventions et les débats absurdes généralisés qui se sont propagés d’une manière étrange ces derniers temps via Facebook, Instagram et WhatsApp, concernant les problèmes de la communauté marocaine (musulmane), y compris ceux liés aux massacres halal. animal, où les bénéficiaires et les exclus échangent des attaques verbales violentes et des expressions qui entrent dans la catégorie des insultes, des calomnies et des diffamations, et d’autres qui ne peuvent pas être faites par une personne saine d’esprit, des accusations préparées à l’avance dans l’artillerie verbale. des cartons prêts à être bombardés. Et des surenchères clairement racistes, et un marchandage de la religion et des droits des immigrés marocains, au point que des enjeux entiers se transforment parfois d’un débat sur les droits des immigrés, en une bataille entre partisans des restrictions (de toutes sortes, sociétales et religieuses) et les partisans de l’urbanisation, et entre ceci et cela des expressions circulent comme « La Belgique est un État laïc », « La Belgique est un État qui respecte les religions », « La Belgique est un État de droit », « La Belgique est un État du chaos ». » « La Belgique est un État d’espions » et plus encore. Ceci, ainsi que le débat lui-même, devient un front offensif pour les immigrés marocains, quels que soient ses buts et ses objectifs.
Après cinquante ans, certains prédicateurs tombent dans le piège de la recherche de la renommée et de la tentation de se propager, et des retours financiers ou même moraux qu’elle apporte, alors ils utilisent des mots et des expressions qui n’ont rien à voir avec la religion pour parler de la communauté, halal. la viande, le terrorisme et l’explication de certains crimes sociétaux dont les motivations sont complètement déconnectées de la doctrine correcte. Tandis que de l’autre côté, certains croient qu’il y a un problème dans la compréhension de l’islam marocain, de l’islam saoudien et de l’islam turc, et qu’il y a là. C’est une crise dans les relations du Royaume de Belgique avec les musulmans !
Ce que je veux dire ici, c’est que le problème fondamental qui produit ces pratiques médiatiques démagogiques est l’absence d’une culture de dialogue entre ((les deux partis)), la propagation de la violence verbale entre les peuples d’un pays et l’absence de pouvoir de l’État. responsabilité de serrer les rangs, alors que le Royaume belge est devenu un espace public à la disposition des séparatistes républicains qui mènent une guerre contre les intérêts du Royaume du Maroc dans la capitale européenne, Bruxelles, et que le 17 juillet 2022 est une preuve concluante de ceux qui le font. ces arrêts et sorties sont les ennemis du roi Mohammed VI, avec l’aide de… Les hommes d’affaires et les services de renseignements algériens en Europe crieront à haute voix qu’ils veulent diviser l’État en États, et ce n’est pas la faute des honorables immigrés royaux marocains ni une négligence de leur part, mais plutôt le résultat. de la négligence de l’État en raison du mauvais comportement des fonctionnaires en matière de procédure et d’organisation. Ce sont des employés défaillants qui sont censés être conscients et capables de saper tous les projets des Républicains qui sont des ennemis de l’unité territoriale.
La réaction et la mobilisation communautaires sont apparemment absentes pour la plupart. Il s’agit d’un conflit entre les partisans de la manifestation du 17 juillet et ceux qui prétendent défendre et protéger l’État et la communauté marocaine. Tous deux sont complètement opposés. des extrémismes parallèles qui ne se rencontrent pas, et entre eux ou derrière eux se trouve un troisième extrémisme qui récolte les fruits de ce qu’ils sèment et récolte ce qu’ils récoltent…
L’État et les associations qui lui sont fidèles n’ont ni règles ni contrôles. C’est l’environnement idéal pour ce que l’on peut qualifier d’extrémisme exécutif et le passage de la parole à l’action, c’est-à-dire la pratique du terrorisme, de la violence et de l’effusion de sang en matière de défense. C’est ainsi que se sont déroulés les débuts du terrorisme dans les époques antérieures, lorsque l’idée a pris feu dans l’opinion de ses auteurs de la transition, ce qui a été décrit comme des batailles intellectuelles absurdes, centrées sur des constantes et des fondements enracinés dans les esprits. et les fondements des livres depuis des siècles, et ce que je veux dire ici n’a rien à voir avec la dialectique du renouveau jurisprudentiel, ses limites, sa légitimité et ses autres origines et branches, de sorte que la discussion ne nous entraîne pas dans des labyrinthes d’où il est impossible de sortir dans cette situation d’urgence. …et en fin de compte, je conclus… Si l’Egypte est la mère du monde, le Maroc est dit le père du monde…
