27 July 2024

Édité par notre Bénévole Lhoucine BENLAIL Directeur Officiel Diplomaticnews.net

Le 30 décembre 2023 Un coup fatal à la stratégie religieuse de la DGED …envers les Marocains du monde, en France Mohamed Belharch et Abdellah Boussouf El-Ladan ont placé la communauté marocaine à l’étranger sous la surveillance des services de renseignement marocains sous prétexte d’appeler à la religion du milieu.

Pour faire face à l’extrémisme et à l’extrémisme Hier, M. Gérard Moussa Darmanin, ministre de l’Intérieur de la France, a annoncé la publication d’un décret gouvernemental interdisant de recevoir des imams en provenance du Maroc, d’Algérie et de Tunisie. Par ailleurs, des centaines de guides féminines et guides religieux affluent en France pour prêcher et guider les communautés musulmanes pendant le mois de Ramadan. Le même ministre a annoncé son intention de renforcer les organismes universitaires chargés en France de former les imams locaux et d’augmenter leur nombre, tout en leur enseignant les fondements des principes laïcs et démocratiques. Tout cela pour faire face à la vague séparatiste qui, selon le ministre d’origine algérienne de Macron, imprègne les discours de la plupart des imams venus de l’étranger. Cette décision entrera en vigueur le premier jour de janvier 2024 Le ministre a ajouté que les imams actuels venus en France des pays islamiques du bassin méditerranéen verront un changement dans le contenu de leurs contrats de travail, puisque son ministère paiera leurs salaires au lieu de recevoir des salaires venant de leurs pays d’origine. Ils se verront également attribuer une évaluation et une formation conforme aux principes de la République française sans préjudice du contenu religieux et idéologique du discours islamique.

L’ère de Boussouf, Belharch et Tawfiq est terminée Selon Harman, cette décision intervient dans le contexte de la lutte contre l’extrémisme religieux, qui affecte l’esprit de la jeunesse musulmane en France et conduit parfois à l’extrémisme. Le plus grand perdant dans ce contexte sera l’Institution officielle marocaine des affaires islamiques, supervisée par le ministre de la souveraineté, Tawfiq, qui ne fait rien sans l’autorisation de l’Émir des croyants. Cette décision est considérée comme un coup dur porté aux rangs de ce ministère, notamment aux membres du renseignement, dont le travail et les activités d’espionnage à l’étranger sont coordonnés par le duo Mohamed Belharch, actuellement sous enquête en Europe, et le secrétaire général du Conseil de la communauté marocaine résidant à l’étranger, Abdullah Boussouf.

M. Boussouuf, qui dispose des millions qui tombent annuellement dans le compte de l’institution dont il contrôle le sort comme il l’entend et selon ses caprices, sans rendre de comptes ni contrôle. Boussoufa, qui, grâce à ses capacités et sans se voir confier cette tâche, devint l’historien de la reine Boussouf est toujours poursuivi par la justice espagnole, aux côtés de Belharch, pour des accusations liées au transfert de fonds publics vers des projets personnels. Boussouf, qui gère les affaires d’un conseil expiré en 2011. Il a commencé à approcher ces personnes corrompues dans le but de les obliger à rendre des comptes et de récupérer l’argent volé. Notons dans le même contexte que la Belgique a été la première à prendre des décisions strictes à l’encontre des éléments de renseignement implantés par les services marocains dans les milieux représentatif religieux, puisqu’elle les a expulsés à l’époque de Salah Challaoui, que la sécurité de l’État belge qualifiait de un espion, tout en le suspendant du contrôle de l’organe représentatif des musulmans de Belgique.

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