12 January 2025
Sa Majesté le Roi Mohammed VI dans un état de santé plus qu’inquitant, autour de lui, le première sinistre Franc-maçon Aziz Akhannouch, le sinistre de la justice Ouahbi Abdellatif qui ne respecte plus les Grâces Royales , et Ahmed Taoufik le sinistre des donnations et des Affaires Islamiques, qui se sont clairement éloignés de la Charia et des Directives Royales

Le Roi Mohammed VI et la situation actuelle : une question de santé et de gouvernance

Il a été remarqué que durant la période où Sa Majesté le Roi Mohammed VI était souffrant, et malgré la recommandation médicale de prendre 45 jours de repos, cette période de convalescence n’a pas été respectée. En dépit de son état de santé, le souverain a été confronté à l’adoption de lois très lourdes, et tout le monde a compris que le Roi avait besoin d’un repos bien mérité.

Cependant, une question se pose : pourquoi le gouvernement d’Aziz Akhannouch semble-t-il si pressé de faire passer des lois qui vont à l’encontre de notre religion, comme la Modawana ?

Est-ce que Sa Majesté le Roi est pris en otage par son propre gouvernement ?Normalement, toute réforme législative importante, surtout lorsqu’elle touche aux valeurs religieuses et culturelles du pays, devrait être accompagnée d’un discours royal. Or, force est de constater que le Roi n’a rien dit ni rien fait concernant ces lois. Ce silence est préoccupant et laisse une impression d’impuissance face à la situation.

Édité par notre Bénévole Lhoucine BENLAIL Directeur Officiel Diplomaticnews.net

L’Association des Savants du Maghreb arabe a exprimé de vives inquiétudes concernant les récentes propositions d’amendements au Code de la famille marocain. Selon l’association, ces amendements violent les principes fondamentaux de la charia islamique ainsi que les directives du roi Mohammed VI. L’association avertit également que ces réformes risquent de pousser les citoyens à recourir à des fatwas légales (avis juridiques religieux) plutôt que de se tourner vers les tribunaux pour résoudre leurs différends juridiques. Elle souligne que ces amendements ont été imposés sous la pression internationale, et que ce sont principalement les femmes qui en subiront les conséquences les plus graves.

Les Membres de L’Association des Savants du Maghreb arabe

Des Violations de la Charia et des Directives Royales

Dans un communiqué officiel, l’Association des Savants a déclaré que les amendements proposés par le ministre des Dotations et des Affaires islamiques comportent des violations évidentes de la charia islamique, telle qu’établie par les juristes musulmans et en conformité avec les instructions du roi Mohammed VI. L’association rappelle que le roi avait annoncé une limite claire à la diligence religieuse, une limite qui ne devait en aucun cas affecter les principes fondamentaux de la religion ou le consensus des juristes musulmans. Selon l’association, les amendements proposés sont en contradiction flagrante avec ce consensus, et vont à l’encontre des enseignements des écoles juridiques, en particulier de l’école Maliki, largement suivie au Maroc.

L’Association des Savants rappelle également que la charia doit toujours être respectée dans l’élaboration de toute loi, afin d’éviter que les lois civiles ne créent des contradictions et ne sèment la confusion parmi la population. Elle insiste sur le fait que l’écart par rapport à la charia pourrait entraîner une confusion juridique, obligeant les citoyens à recourir à des fatwas pour résoudre leurs différends, ce qui compliquerait encore davantage le système juridique marocain.

*Les Controverses Relatives au Mariage et à la Tutelle*. L’un des points de discorde majeur souligné par l’Association concerne le contrat de mariage. Selon les amendements proposés, l’association estime que le mariage ne peut être validé que si *deux témoins musulmans* sont présents, comme le stipule la charia islamique. Toutefois, l’amendement proposé semble abandonner cette exigence de témoins, rendant ainsi le mariage contraire aux *principes islamiques fondamentaux*. L’Association affirme que même si un mariage est prononcé par un tribunal et inscrit dans les documents légaux, il ne sera pas valide si les exigences de la charia ne sont pas respectées, notamment l’existence de témoins musulmans pour garantir la validité du contrat.Un autre point de désaccord majeur concerne la *tutelle parentale*. L’Association des Savants estime qu’après un divorce, la *tutelle* des enfants doit être clairement définie et réservée au père, sauf dans des circonstances exceptionnelles. L’Association critique l’idée d’autoriser la mère, en tant que tutrice, à prendre des décisions légales concernant les enfants sans l’accord du père. Elle considère cela comme une *injustice* envers le mari, qui perdrait ainsi un de ses droits inaliénables.

L’Association souligne que cette question de la tutelle est *universellement reconnue* et ne fait l’objet d’aucun désaccord parmi les musulmans, et que les amendements proposés créent une *rupture* avec le principe de la *charia*.*Un Appel au Respect de la Charie et des Considérations Religieuses*L’Association des Savants du Maghreb arabe appelle à une révision de ces amendements afin qu’ils soient conformes aux *principes islamiques* et au *consensus des juristes* musulmans. Elle insiste sur le fait que la loi marocaine doit respecter la charia et ne pas imposer des règles contraires aux valeurs islamiques. Elle appelle également à la création d’un *code spécifique* pour les musulmans marocains qui respecterait les principes de l’école *Maliki*, permettant ainsi de garantir une application juste et conforme à la religion.

L’Association plaide pour un *équilibre* entre les exigences modernes et les principes religieux afin de garantir une *justice* qui respecte les *valeurs islamiques* et les *droits des citoyens*. Elle met en garde contre les conséquences négatives que pourraient avoir ces amendements, notamment la création d’un système juridique qui pourrait entraîner une *fracture* entre la charia et les lois civiles, rendant les musulmans vulnérables à des décisions juridiques qui ne respectent pas leurs croyances religieuses.

Conclusion

*En conclusion, l’Association des Savants du Maghreb arabe appelle les autorités marocaines à reconsidérer les amendements proposés au *Code de la famille* et à garantir que les lois du pays soient en parfaite conformité avec les principes de la *charia*. L’Association insiste sur l’importance de maintenir l’intégrité des enseignements islamiques dans le système juridique marocain et appelle à la création d’un cadre juridique qui respecte pleinement les *valeurs religieuses* et les *droits des citoyens* musulmans.

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