16 May 2024

Édité par notre Bénévole Lhoucine BENLAIL Directeur Officiel Diplomaticnews.net

Source : Médias d’information de Fès

L’avocat Abdel Fattah Zahrash et le YouTubeur Mohamed Tohfa ont annoncé qu’ils poursuivraient en justice Idris Farhan, propriétaire du site Internet « Shorouk News 24 », soutenu par le régime algérien et spécialisé dans la diffamation, le chantage et la diffusion de fausses nouvelles contre le Maroc et ses institutions. , en plus de cibler au hasard les citoyens marocains.Devant le siège d’un cabinet d’avocats à Bologne, en Italie, M. Zahrash a confirmé qu’il poursuivrait, avec Muhammad Tuhfa, Idris Farhan pour…Cela fait plus de deux mois qu’il leur lance de fausses accusations, sans compter qu’il les diffame et s’en prend à leur réputation de manière systématique et totalement contraire à la justice et à la loi.

Il convient de noter qu’en 2023, le tribunal de deuxième instance de la ville de Brescia, en Italie, a condamné Idris Farhan à cinq ans et trois mois de prison et à une amende de 1 000 euros, la peine étant réduite d’un tiers en raison de « rituels judiciaires », à trois ans et demi et à une amende de 667 euros, avec interdiction d’exercer des fonctions publiques pour une durée de cinq ans.La justice italienne a justifié sa condamnation contre Idris Farhan en affirmant que le délit de diffamation était établi à son encontre, en raison de sa publication sur Internet d’articles malveillants contenant des données incorrectes contre des membres de la communauté marocaine. Elle a également considéré comme confirmé le délit de chantage contre lui. lui et sur la base de données concluantes en raison de son implication avérée dans les revendications des victimes, à des victimes, à hauteur de 5 000 euros, sous prétexte de s’abstenir de publier des articles diffamatoires à leur encontre.Il convient de noter que la justice italienne ne s’est pas limitée à condamner Idris Farhan, l’éditeur des articles d’Al-Shorouk News, à une peine d’emprisonnement et à une amende pour les crimes criminels qui lui sont imputés. La juge Maria Paola Borio, qui présidait l’instance dirigeante, a décidé de priver Idris Farhan de certains des droits nationaux garantis aux citoyens et aux immigrés résidant en Italie, après l’avoir empêché de se présenter aux élections ou d’exercer des fonctions publiques pendant une période de cinq ans La privation des droits nationaux ou de certains de ces droits est l’une des sanctions les plus sévères prévues par la législation européenne, car elle prive le condamné de sa citoyenneté ou de son éligibilité, en raison de la gravité des crimes qui lui sont reprochés ou dans lesquels il a été impliqué.

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